Alors que tous les chiffres de l'épidémie s'améliorent partout en France et en Europe, cette soudaine excitation médiatico-politique autour du cas niçois sonne comme un énième épisode de cette grande opération de contrôle des esprits par la peur. Le message en filigrane, presque subliminal, c'est : il est interdit d'être optimiste, et chaque fois que vous le serez nous viendrons vous redire que le film d'horreur n'est pas terminé.
Ils veulent absolument rester maîtres du temps, maîtres des événements. C'est eux et seulement eux qui doivent décider quand les Français pourront redevenir confiants. Tant qu'ils ne l'ont pas décidé, ils sortiront la carte de la menace épidémique autant de fois qu'elle sera nécessaire pour maintenir la population sous leur joug. Blachier avait raison : ils ressentent très certainement un plaisir sadique à nous maintenir la tête sous l'eau. L'ivresse du pouvoir.
Ils veulent absolument rester maîtres du temps, maîtres des événements. C'est eux et seulement eux qui doivent décider quand les Français pourront redevenir confiants. Tant qu'ils ne l'ont pas décidé, ils sortiront la carte de la menace épidémique autant de fois qu'elle sera nécessaire pour maintenir la population sous leur joug. Blachier avait raison : ils ressentent très certainement un plaisir sadique à nous maintenir la tête sous l'eau. L'ivresse du pouvoir.