📌La question :
Quel est le jugement concernant la rupture du lien de parenté, pour une mère, avec sa fille pécheresse ?
📌Réponse :
La base est de ne pas rompre ce lien, de commander le convenable, d'interdire le blâmable et qu'elle ne soit pas une aide pour shaytân contre sa fille.
En effet, peut-être que si elle rompt le lien avec sa fille, celle-ci se précipitera dans la corruption de plus belle et peut-être que celle-ci abandonnera l'islâm totalement.
La législation religieuse (charî'ah) est venue avec la répression des préjudices ou la limitation des dégâts lorsque ce n'est pas possible.
On repousse donc le préjudice majeur, même si l'on doit pour cela perpétrer un préjudice moindre.
L'être raisonnable est celui qui connaît le meilleur des deux biens et le pire des deux maux.
Afin de privilégier le meilleur des deux biens, de perpétrer le moindre des deux maux et de repousser le pire.
Je vois donc -et Allâh est plus Savant- que tant que ceci se passe dans ces pays (l'occident), qu'il ne faille pas qu'une mère rompe le lien avec sa fille, quoi que celle-ci puisse faire.
Au contraire, elle doit essayer de lui ordonner le convenable de lui interdire le blâmable, et de limiter les préjudices dans lesquels celle-ci est tombée, en invoquant abondamment pour elle qu'Allâh - 'azza wa jalla - la guide.
Séminaire à la mosquée Al-Ihsân de Louvain en Belgique, 6 avril 2017
Traduit et retranscrit par Abdoullah Abou Khouzaymah
✅ Publié par 3ilmchar3i.net
Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî - الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي
Quel est le jugement concernant la rupture du lien de parenté, pour une mère, avec sa fille pécheresse ?
📌Réponse :
La base est de ne pas rompre ce lien, de commander le convenable, d'interdire le blâmable et qu'elle ne soit pas une aide pour shaytân contre sa fille.
En effet, peut-être que si elle rompt le lien avec sa fille, celle-ci se précipitera dans la corruption de plus belle et peut-être que celle-ci abandonnera l'islâm totalement.
La législation religieuse (charî'ah) est venue avec la répression des préjudices ou la limitation des dégâts lorsque ce n'est pas possible.
On repousse donc le préjudice majeur, même si l'on doit pour cela perpétrer un préjudice moindre.
L'être raisonnable est celui qui connaît le meilleur des deux biens et le pire des deux maux.
Afin de privilégier le meilleur des deux biens, de perpétrer le moindre des deux maux et de repousser le pire.
Je vois donc -et Allâh est plus Savant- que tant que ceci se passe dans ces pays (l'occident), qu'il ne faille pas qu'une mère rompe le lien avec sa fille, quoi que celle-ci puisse faire.
Au contraire, elle doit essayer de lui ordonner le convenable de lui interdire le blâmable, et de limiter les préjudices dans lesquels celle-ci est tombée, en invoquant abondamment pour elle qu'Allâh - 'azza wa jalla - la guide.
Séminaire à la mosquée Al-Ihsân de Louvain en Belgique, 6 avril 2017
Traduit et retranscrit par Abdoullah Abou Khouzaymah
✅ Publié par 3ilmchar3i.net
Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî - الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي