La mesure annoncée par Marlène Schiappa va clairement dans le bon sens. Si elle est correctement appliquée, elle entraînerait une diminution de moitié du nombre de viols à Paris, ce qui permettrait d’allouer davantage de moyens pour soutenir les victimes de violences. Encore faut-il que la loi soit réellement appliquée, ce qui s’annonce difficile compte tenu de l’intense lobbying juridique réalisé par les associations de défense des migrants pour empêcher l’expulsion des étrangers violeurs, harceleurs et agresseurs de femmes, comme le montre une récente affaire.
Les associations de défense des migrants font bien peu de cas des violences faites aux femmes par des hommes issus de cultures violemment misogynes. En mai 2017, des militants d’associations de défense des migrants avaient fait irruption dans une manifestation contre le harcèlement de rue dans le quartier parisien de La Chapelle-Pajol pour traiter les manifestantes de racistes.
En 2015, le collectif La Chapelle de défense des migrants avaient envoyé 150 migrants afghans, tous des hommes, envahir par la force les locaux de l’association féministe Ni Putes Ni Soumises. “La confrontation violente a été évitée de justesse“, relatait Libération. Face à la détermination de ces 150 hommes, les féministes n’ont pas vraiment eu d’autre choix que de les laisser squatter la nuit et de se plier à l’obligation de ne pas faire d’amalgames entre les violences misogynes en Afghanistan et les Afghans qui ont envahi leur local.
Outre le travail de sape des droits des femmes par les associations pro-migrants, un autre élément risque d’attenuer les effets bénéfiques du projet de Marlène Schiappa : la quantité importante d’hommes issus de cultures misogynes qui commettent des violences sexistes mais qui sont pour le moment non-expulsable parce qu’ils possèdent la nationalité française. La déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de violences misogynes ou sexuelles ou plus largement d’actes criminels permettrait de diminuer le nombre de violences contre les femmes dans notre pays.
Une autre mesure intéressante serait de créer une agence d’aide au retour pour les hommes de nationalité française originaires de pays misogynes et qui présentent des difficultés à accepter les droits des femmes en France. La présence massive de ces hommes, qui se sont accumulés au fil des vagues migratoires, joue un rôle important dans le harcèlement de rue massif des femmes en France.
Certains de ces hommes, comme par exemple Eljay Rachid, imam à Brest, estiment qu’une femme non-voilée est “sans honneur” et qu’elle mérite le viol. D’autres, hommes et femmes, se plaignent que la burqa soit interdite en France et s’estiment de ce fait victimes d’islamophobie. Puisque voir les cheveux des françaises les fait tant souffrir, puisque les libertés des femmes françaises leur semblent une violence islamophobe insupportable, aidons ces misogynes à retrouver leur terre islamique d’origine, quitte même à mettre en place des incitations financières pour leur déménagement. La liberté des femmes dans notre pays n’a pas de prix. https://www.bellica.fr/marlene-schiappa-appelle-a-lexpulsion-des-delinquants-et-criminels-etrangers-misogynes-bonne-mesure-mais-il-reste-du-boulot/
Les associations de défense des migrants font bien peu de cas des violences faites aux femmes par des hommes issus de cultures violemment misogynes. En mai 2017, des militants d’associations de défense des migrants avaient fait irruption dans une manifestation contre le harcèlement de rue dans le quartier parisien de La Chapelle-Pajol pour traiter les manifestantes de racistes.
En 2015, le collectif La Chapelle de défense des migrants avaient envoyé 150 migrants afghans, tous des hommes, envahir par la force les locaux de l’association féministe Ni Putes Ni Soumises. “La confrontation violente a été évitée de justesse“, relatait Libération. Face à la détermination de ces 150 hommes, les féministes n’ont pas vraiment eu d’autre choix que de les laisser squatter la nuit et de se plier à l’obligation de ne pas faire d’amalgames entre les violences misogynes en Afghanistan et les Afghans qui ont envahi leur local.
Outre le travail de sape des droits des femmes par les associations pro-migrants, un autre élément risque d’attenuer les effets bénéfiques du projet de Marlène Schiappa : la quantité importante d’hommes issus de cultures misogynes qui commettent des violences sexistes mais qui sont pour le moment non-expulsable parce qu’ils possèdent la nationalité française. La déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs de violences misogynes ou sexuelles ou plus largement d’actes criminels permettrait de diminuer le nombre de violences contre les femmes dans notre pays.
Une autre mesure intéressante serait de créer une agence d’aide au retour pour les hommes de nationalité française originaires de pays misogynes et qui présentent des difficultés à accepter les droits des femmes en France. La présence massive de ces hommes, qui se sont accumulés au fil des vagues migratoires, joue un rôle important dans le harcèlement de rue massif des femmes en France.
Certains de ces hommes, comme par exemple Eljay Rachid, imam à Brest, estiment qu’une femme non-voilée est “sans honneur” et qu’elle mérite le viol. D’autres, hommes et femmes, se plaignent que la burqa soit interdite en France et s’estiment de ce fait victimes d’islamophobie. Puisque voir les cheveux des françaises les fait tant souffrir, puisque les libertés des femmes françaises leur semblent une violence islamophobe insupportable, aidons ces misogynes à retrouver leur terre islamique d’origine, quitte même à mettre en place des incitations financières pour leur déménagement. La liberté des femmes dans notre pays n’a pas de prix. https://www.bellica.fr/marlene-schiappa-appelle-a-lexpulsion-des-delinquants-et-criminels-etrangers-misogynes-bonne-mesure-mais-il-reste-du-boulot/