#Suicide_économique–«On a déjà mis le pied dans la porte»: les macronistes veulent finaliser le vol des 300 milliards d’avoirs russes gelés«Le jour où on les confisque, on est capable d'aider l'Ukraine sans changer nos priorités», explique l'inénarrable Nathalie Loiseau à un journaliste complaisant.
C'est à dire «sans toucher à notre modèle social», poursuit-elle, avouant candidement que le soutien au régime de Kiev se ferait quel qu'en soit le prix pour les populations du Vieux continent.
Ce jour, c'est maintenant
Qu'importe donc que
de la BCE au
FMI, toutes les institutions financières paniquent face aux conséquences d'une telle décision.
Dernière en date Euroclear, intermédiaire clé sur les marchés financiers de l'UE:
«Si nos clients ont le sentiment que la loi n'est plus respectée et que leurs avoirs peuvent être confisqués, cela ouvre la boîte de Pandore», s’est
alarmée sa patronne Valerie Urbain.
«Cela pourrait conduire les grands investisseurs internationaux à se détourner de l'Europe.»
Le reste du monde ne souscrivant pas (du tout) au narratif occidental sur le conflit, le conditionnel n'est pas de mise.
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L’UE doit savoir qu’elle «se rapproche pas à pas du point de non-retour»: la diplomatie russe évoque la rupture des relations diplomatiques