Oui au partenariat. Non au mariage pour tous !
Le conseil fédéral nous induit en erreur en nous expliquant, très sérieusement, en page 25 de sa brochure¹, que seul le code civil sera modifié car une modification de la constitution actuelle n'est pas nécessaire. Raison invoquée : « La Constitution fédérale ne définit pas le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme ». Ça devient même grotesque un peu plus loin en page 29 : « La Constitution autorise le mariage pour tous ».
Traduction : nous exploitons un vide juridique provenant du fait qu'à l'époque où la constitution a été rédigée, le mariage était évidemment, pour tout le monde, un mariage entre un homme et une femme.
À cette époque, il n'était bien sûr venu à l'esprit de personne qu'il faille le préciser…
Nous apprenons aussi, en page 25, qu'il « ne sera plus possible de conclure de nouveaux partenariats enregistrés ». Cela signifie que non seulement les homos pourront se marier au civil, mais qu'on empêchera ceux qui le désirent de contracter un partenariat à caractère non religieux tel qu'il est permis d'en faire depuis 15 ans² !
Pourquoi parler de religion, donc de sacré (ou cultuel) alors qu'il ne s'agit que d'un mariage civil, diront certains. Parce que notre code civil définit ce mariage comme le préalable obligatoire au mariage religieux ! ³
Pourquoi ne se satisfont-ils pas de ce simple contrat de partenariat ?
Peut-être par mimétisme social : manière de se conformer à cette "hétéronormalité", dont ils se plaignent en d'autres circonstances⁴, en adhérant à l'idée que la seule voie vers l'acceptation sociale et le bonheur serait de se marier, voire même d'élever des enfants.
Peut-être aussi parce que beaucoup d'homos éprouvent ce sentiment paradoxal consistant à se sentir oppressés par leur impossibilité de se marier, alors qu'ils n'ont pour la plupart jamais eu de relation de couple durable et fidèle de plus de 5 ans.
Contrairement à ce que voudrait nous faire croire l'idéologie égalitaire, les hommes sont de nature inégaux, en tous points de vue. Par exemple :
• intelligence : certains seront jugés inaptes à exercer certains emplois, et à raison !
• force physique : les métiers laborieux ou dangereux, ainsi que le militaire, sont largement masculins, et les post-féministes ne s'en plaignent pas !
• de même pour la sexualité : l'hétérosexualité est la faculté à perpétuer l'espèce en élevant sa progéniture. En découle donc la forme d'union la mieux adaptée à cela : stabilité du couple uni par le mariage à caractère sacré.
Afin que le partenariat enregistré entre personnes de même sexe ne disparaisse pas, votez NON au mariage pour tous !
1 www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/votations/20210926.html
2 Loi sur le partenariat (LPart), acceptée par le peuple en 2005.
3 Code civil Suisse du 1.1.2019, chapitre Ⅲ, Art. 97.
4 fr.wikipedia.org/wiki/Hétéronormativité
RH98
Le conseil fédéral nous induit en erreur en nous expliquant, très sérieusement, en page 25 de sa brochure¹, que seul le code civil sera modifié car une modification de la constitution actuelle n'est pas nécessaire. Raison invoquée : « La Constitution fédérale ne définit pas le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme ». Ça devient même grotesque un peu plus loin en page 29 : « La Constitution autorise le mariage pour tous ».
Traduction : nous exploitons un vide juridique provenant du fait qu'à l'époque où la constitution a été rédigée, le mariage était évidemment, pour tout le monde, un mariage entre un homme et une femme.
À cette époque, il n'était bien sûr venu à l'esprit de personne qu'il faille le préciser…
Nous apprenons aussi, en page 25, qu'il « ne sera plus possible de conclure de nouveaux partenariats enregistrés ». Cela signifie que non seulement les homos pourront se marier au civil, mais qu'on empêchera ceux qui le désirent de contracter un partenariat à caractère non religieux tel qu'il est permis d'en faire depuis 15 ans² !
Pourquoi parler de religion, donc de sacré (ou cultuel) alors qu'il ne s'agit que d'un mariage civil, diront certains. Parce que notre code civil définit ce mariage comme le préalable obligatoire au mariage religieux ! ³
Pourquoi ne se satisfont-ils pas de ce simple contrat de partenariat ?
Peut-être par mimétisme social : manière de se conformer à cette "hétéronormalité", dont ils se plaignent en d'autres circonstances⁴, en adhérant à l'idée que la seule voie vers l'acceptation sociale et le bonheur serait de se marier, voire même d'élever des enfants.
Peut-être aussi parce que beaucoup d'homos éprouvent ce sentiment paradoxal consistant à se sentir oppressés par leur impossibilité de se marier, alors qu'ils n'ont pour la plupart jamais eu de relation de couple durable et fidèle de plus de 5 ans.
Contrairement à ce que voudrait nous faire croire l'idéologie égalitaire, les hommes sont de nature inégaux, en tous points de vue. Par exemple :
• intelligence : certains seront jugés inaptes à exercer certains emplois, et à raison !
• force physique : les métiers laborieux ou dangereux, ainsi que le militaire, sont largement masculins, et les post-féministes ne s'en plaignent pas !
• de même pour la sexualité : l'hétérosexualité est la faculté à perpétuer l'espèce en élevant sa progéniture. En découle donc la forme d'union la mieux adaptée à cela : stabilité du couple uni par le mariage à caractère sacré.
Afin que le partenariat enregistré entre personnes de même sexe ne disparaisse pas, votez NON au mariage pour tous !
1 www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/votations/20210926.html
2 Loi sur le partenariat (LPart), acceptée par le peuple en 2005.
3 Code civil Suisse du 1.1.2019, chapitre Ⅲ, Art. 97.
4 fr.wikipedia.org/wiki/Hétéronormativité
RH98