12 janvier 2021
Cela fait dix jours que la neige, indifférente au réchauffement climatique, s’accroche à nos montagnes drômoises, pour la plus grande joie des enfants et des écrivains dont la nature contemplative n’est plus à rappeler.
Je ne cesse d’y traîner mes chaussures de marche, goûtant la magie retrouvée de l’hiver, arpentant sans me lasser les Paysages de neige de Kitagawa Utamaro (1753-1806) dont l’éditeur Picquier a réédité en septembre trois séries d’estampes qui abordent magnifiquement, de cette manière si japonaise, l’impermanence du cosmos.
Etre là,
tout simplement,
au milieu de la neige qui tombe.
Issa (1763-1827)
Cela fait dix jours que la neige, indifférente au réchauffement climatique, s’accroche à nos montagnes drômoises, pour la plus grande joie des enfants et des écrivains dont la nature contemplative n’est plus à rappeler.
Je ne cesse d’y traîner mes chaussures de marche, goûtant la magie retrouvée de l’hiver, arpentant sans me lasser les Paysages de neige de Kitagawa Utamaro (1753-1806) dont l’éditeur Picquier a réédité en septembre trois séries d’estampes qui abordent magnifiquement, de cette manière si japonaise, l’impermanence du cosmos.
Etre là,
tout simplement,
au milieu de la neige qui tombe.
Issa (1763-1827)