𝐋𝐞 𝐒𝐜𝐫𝐢𝐛𝐞™️

Dans une contrée lointaine vivait une poule qui, toute sa vie, avait rêvé d’avoir des enfants. Avec un amour infini, elle veillait sur ses œufs, les couvait tendrement, les protégeait du vent et des prédateurs, convaincue qu’en offrant toute sa patience et son dévouement, la vie finirait par lui sourire en retour.

Mais un jour, une tempête éclata. Le ciel se déchira sous les éclairs, le vent déracina des arbres, la pluie inonda la terre. Quand enfin l’orage s’éloigna, la poule courut vers son nid, le cœur battant d’inquiétude. Ce qu’elle découvrit la figea sur place : des coquilles brisées, des œufs anéantis, son rêve réduit en miettes.

Anéantie, elle s’assit à côté des débris et pleura, incapable d’accepter que tout ce pour quoi elle avait vécu s’était volatilisé en un instant.

C’est alors qu’une vieille tortue passa par là. Voyant les larmes de la poule, elle s’arrêta et demanda d’une voix douce :

— Pourquoi pleures-tu ?

— J’ai tant donné, tant aimé… Et pourtant, le destin m’a tout pris. Pourquoi ? Ne méritais-je donc pas un peu de joie ?

La tortue poussa un profond soupir et répondit :

— Tu crois que la vie est injuste ? Mais si, au contraire, elle suivait simplement ses lois ? Le soleil se lève et se couche, les arbres grandissent puis meurent, la tempête emporte ce qui est plus fragile qu’elle. Nous ne pouvons arrêter le vent, ni retenir les feuilles sur les branches lorsque l’automne arrive. Alors pourquoi te blâmer pour quelque chose que tu ne pouvais empêcher ?

La poule contempla son nid dévasté.

— Mais comment continuer à vivre ? Tout ce à quoi j’aspirais n’existe plus…

La tortue lui sourit avec bienveillance :

— Vis. Si la tempête a emporté ton espoir, trouve en toi la force d’en bâtir un nouveau. Si tes anciens rêves se sont brisés, permets-toi d’en créer d’autres. La sagesse de la vie, ce n’est pas de lutter contre l’inévitable, mais de l’accepter et d’avancer malgré tout.

Silencieuse, la poule hocha la tête. Les larmes coulaient encore sur ses plumes, mais au fond d’elle naissait une compréhension nouvelle. Elle ne pourrait jamais récupérer ce qu’elle avait perdu, mais elle pouvait choisir de se relever et de continuer à espérer.

Dès lors, la poule ne pleura plus jamais sur ce qu’elle ne pouvait changer. Elle apprit à ne plus craindre les tempêtes, mais à lever les yeux vers le ciel avec la certitude qu’après chaque orage, le soleil finit toujours par revenir.

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La fable du lapin généreux

Dans une forêt enchantée, vivait un petit lapin nommé Nico. Reconnu pour sa générosité inépuisable, il offrait son aide à quiconque en avait besoin. Lorsque l'écureuil Ana manquait de provisions, Nico grimpait aux arbres pour lui cueillir des noix. Si le renard Lucho voyait son abri endommagé, Nico accourait pour le réparer. Et quand la tortue Toña hésitait à traverser la rivière, Nico la portait sur son dos avec douceur et patience.

Jour après jour, il bondissait d'un coin à l'autre de la forêt, le cœur grand ouvert, les pattes infatigables. Tous les animaux l'admiraient, mais à force de le voir toujours disponible, ils en vinrent à croire que son aide était acquise.

Un jour, alors qu'il aidait la girafe Lili à suspendre des fleurs au sommet d'un arbre, Nico perdit l'équilibre et chuta. Ce ne fut pas une chute grave, mais lorsqu’il se releva, une douleur lancinante traversa ses pattes arrière. Pourtant, ce n'était pas la seule blessure qu’il ressentit. En lui, un autre poids se fit sentir : celui de porter sur ses épaules les attentes de tous, sans qu'aucun ne se demande s'il avait lui aussi besoin d'aide.

Ce soir-là, blotti dans son terrier, il observa la lune, ronde et éclatante, au travers des branches. Les yeux pleins de larmes, il murmura :
— J'aime aider mes amis... mais qui pense à moi ? Suis-je seulement important quand je sers ?

Le lendemain, le castor Bruno vint lui demander de l'aide pour construire sa digue. Nico prit une grande inspiration, baissa les yeux vers ses pattes encore endolories et répondit doucement, mais fermement :
— Désolé, Bruno. Aujourd’hui, j’ai besoin de temps pour moi. Je suis fatigué et je dois me reposer.

Bruno resta d'abord interdit. Puis, lentement, il hocha la tête. Il comprit.

À partir de ce jour, Nico apprit à dire "non" quand il sentait que son corps ou son cœur en avait besoin. Il cessa de répondre à tous les appels et prit soin de son propre terrier, profitant du soleil filtrant à travers les feuilles. Il redécouvrit la joie de courir librement dans la clairière, non par devoir, mais par pur plaisir.

Les autres animaux, d'abord surpris, durent s’adapter. Certains comprirent qu’ils devaient se débrouiller seuls. D'autres, plus sages, commencèrent à s'entraider. Petit à petit, la forêt se transforma. On ne venait plus chercher Nico pour chaque souci, mais on lui apportait parfois des carottes fraîches ou des fleurs de champs. À sa grande surprise, on prit aussi soin de lui.

Ainsi, Nico découvrit une vérité essentielle : aider est une grande vertu, mais prendre soin de soi est une nécessité. En écoutant ses propres besoins, il trouva un équilibre nouveau. Et dans cette forêt, où l'harmonie était autrefois fragile, naquit un esprit de solidarité.

Morale de l'histoire :
Être généreux est un don précieux, mais il ne doit jamais se faire au détriment de soi-même. Même les cœurs les plus grands ont besoin de repos, car on ne peut offrir le meilleur de soi aux autres qu'en prenant soin de soi d'abord.

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1. "La plus grande prison dans laquelle vivent les gens est la peur de ce que les autres pensent d'eux."
- David Icke

2. "Méfiez-vous de ceux qui s'excusent rapidement, car ils le font souvent pour mettre fin à la conversation, pas parce qu'ils le pensent réellement."
— Paulo Coelho

3. "Ceux qui cherchent à contrôler les autres sont souvent ceux qui ne peuvent pas se contrôler eux-mêmes."
— Marc Aurèle

4. "La seule façon de faire face à ce monde injuste est de se révolter contre lui."
— Albert Camus

5. "La sagesse, c'est savoir quand parler, et l'intelligence, c'est savoir quand se taire."
— Socrate

6. "Un cœur brisé t'enseigne des leçons que le succès ne t'enseignera jamais."
— Khalil Gibran

7. "La plupart des gens ne recherchent pas la vérité, mais cherchent la tranquillité."
— Carl Jung

8. "L'homme qui n'a rien à perdre est l'homme qu'on ne peut pas contrôler."
— Fiodor Dostoïevski

9. "Une personne sage ne cherche jamais la vengeance, car la vie s'en chargera mieux."
— Confucius

10. "Méfie-toi de ceux en qui tu as confiance, le sel et le sucre se ressemblent."
— Proverbe japonais

11. "Le moment où tu arrêtes de poursuivre quelque chose est le moment où tu le trouves."
— Bouddha

12. "Une armée de moutons menée par un lion vaincra une armée de lions menée par un mouton."
— Proverbe arabe

13. "L'injustice n'importe où est une menace pour la justice partout."
— Martin Luther King Jr.

14. "Celui qui vit pour les autres restera dans les mémoires plus longtemps que celui qui vit seulement pour lui-même."
— Léon Tolstoï

15. "La pire forme de solitude est celle où les gens ne te comprennent pas."
— George Eliot

16. "Pour savoir à quel point quelqu'un t'apprécie, regarde comment il se comporte quand il n'a plus besoin de toi."
— Friedrich Nietzsche

17. "Quand tu arrêtes de te comparer aux autres, tu deviens la meilleure version de toi-même."
— Lao Tseu

À méditer 🧘🏿‍♂️💡🧠

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"Méfiez-vous de vos amis ils vous trahiront plus vite": Si vous embauchez d’anciens ennemis, ils se révéleront plus dignes de confiance car ils peuvent prouver plus.

Voici 9 leçons puissantes tirées du livre "48 lois du pouvoir" de Robert Greene.

1- Leçon 1 : "Si les gens n’ont aucune idée de ce que vous faites, ils ne peuvent pas préparer une défense."

2- Leçon 2 : "Le silence a un effet puissant lorsqu’il est utilisé dans les bonnes circonstances. Dites-en toujours moins que nécessaire".

3- Leçon 3 : "Pour gagner en autorité, votre réputation est essentielle il est possible d’intimider et de gagner uniquement selon votre réputation".

4- Leçon 4: "Faites toujours paraître vos maîtres plus brillants qu’ils ne le sont et vous atteindrez les sommets du pouvoir."

5- Leçon 5: "Tout est jugé par son apparence; ce qui est invisible ne compte pour rien. Ne vous laissez donc jamais perdre dans la foule, ou enterrée dans l’oubli."

6- Leçon 6: "Utilisez la sagesse, les connaissances et le travail des autres pour faire avancer votre propre cause." Thomas Edison à utiliser le travail de son collaborateur Nikola Tesla pour faire avancer la percée du dynamo.

7- Leçon 7: "Lorsque vous forcez l’autre personne à agir, c’est vous qui contrôlez." Il est toujours préférable de faire venir votre adversaire à vous, abandonnant ainsi ses propres plans.

8- Leçon 8: "Toute victoire momentanée que vous pensez avoir à travers la discussion n’en vaut pas la peine. Gagnez par vos actions et non pas vos arguments".

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« Un homme, pour moi, ce n’est ni un portefeuille pour assurer mon existence, ni une étiquette dont j’ai besoin pour circuler dans la société, ni un bijou qu’il m’amuserait de porter pour que d’autres me l’envient, ni un sexe où accrocher mon reste de jeunesse pour la retenir, ni un poste à transistor destiné à combler le silence.

C’est un être humain avec lequel je veux trouver ce qu’il y a de plus rare au monde : un langage commun. Communiquer, s’entendre, être entendu et entendre l’autre. »

✍️ Françoise Giroud, Histoire d'une femme libre

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L’un des passages les plus poignants de la littérature russe :
Lorsqu’Anton Tchekhov écrivit, avec une tristesse profonde...

✦ « Je suis mort il y a à peine deux minutes… Me voilà ici, seul, entouré d’anges et d’autres êtres dont j’ignore la nature. Je les ai suppliés de me ramener à la vie, pour ma femme, encore si jeune, pour mon enfant qui n’a pas encore vu le jour. »

✦ « Elle était enceinte de trois mois... Les minutes passaient, et soudain, l’un des anges s’approcha, tenant entre ses mains un objet étrange, semblable à un écran. D’une voix douce, il me dit :
— Le temps ici et là-bas ne s’écoule pas de la même manière... Les minutes ici équivalent à des jours entiers sur Terre. Regarde, tu peux veiller sur eux d’ici.

✦ Il alluma l’écran, et immédiatement, l’image de ma femme apparut. Elle portait un nourrisson dans ses bras ! Mais la scène avançait à une vitesse vertigineuse : mon fils grandissait sous mes yeux, les jours défilaient en secondes. Ma femme changeait les meubles, elle touchait ma pension, mon fils entrait à l’école. Mes frères et sœurs se mariaient, chacun traçait son propre chemin. Des années entières passaient dans un tumulte d’images saccadées...

✦ Mais au milieu de ce flot incessant, un détail attira mon regard. Un élément immobile, comme une ombre noire en arrière-plan. Les années défilaient, et pourtant, cette ombre restait là, toujours présente, toujours figée. Peu à peu, elle rétrécissait, s’effaçait doucement. Intrigué, j’appelai un ange, le suppliai de m’éclairer :

✦ L’ange, plein de compassion, ne se contenta pas d’agrandir l’image. Il ralentit le temps, me permettant de voir enfin...

Cela fait quinze ans que je suis assis ici, à contempler cette silhouette qui pleure... et à pleurer avec elle.

Ce n’était pas une ombre.

C’était ma mère.

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Un tigre et un corbeau étaient au milieu d'une discussion animée pour déterminer lequel des deux était le plus formidable. Avec son arrogance habituelle, le tigre proclama : "Je suis une bête sauvage, mon pouvoir est incomparable." Le corbeau, sans s'agiter, répondit : "Tes paroles ne m'affectent pas, je suis le vrai roi de l'air." Juste au moment où la dispute atteignait son apogée, un groupe de chasseurs apparut, armé et déterminé. Avec astuce, ils lancèrent un filet qui attrapa le tigre, lequel, sous sédatif, ne put résister. Le corbeau, également victime d'une fléchette tranquillisante, fut emprisonné et enfermé dans une cage, tandis que le tigre était conduit dans un donjon sombre.

En ouvrant les yeux, le tigre se rendit compte de sa triste réalité : il était coincé dans une cellule, sans possibilité de fuir. Ses griffes raclaient les barreaux de fer froids, mais la liberté lui échappait comme un rêve lointain. De son côté, le corbeau, en se réveillant, réalisa que son destin était le même : sa cage lui volait son vol et, malgré ses tentatives de battements d'ailes, il ne pouvait s'élever vers le ciel. Ainsi, les mois s'écoulèrent, et la tristesse s'empara des deux prisonniers de la cupidité des chasseurs qui les gardaient sous leur contrôle. Le tigre, affaibli par la faible nourriture, partageait sa souffrance avec le corbeau, qui souffrait aussi du manque de subsistance.

Un jour ordinaire, l'un des chasseurs laissa la cage du corbeau entrouverte. C'est à cet instant que le corbeau, sentant l'air frais de la liberté, s'envola et s'éloigna à grande vitesse. Cependant, alors qu'il sillonnait les cieux, une pensée lui traversa l'esprit : le tigre, son ami, était toujours piégé. Décidé à l'aider, il retourna avec prudence sur le lieu où se trouvaient les chasseurs. Avec furtivité, il prit la clé du donjon et appela le tigre : "Salut, mec ! Je suis venu te sauver." En regardant par la fenêtre, le tigre vit le corbeau tenir la clé entre ses griffes. Il tendit ses pattes, et le corbeau lui donna la clé. Ensemble, ils s'échappèrent avec fureur : le corbeau sillonnant le ciel et le tigre courant agilement entre les arbres.

Une fois qu'ils eurent réussi à s'échapper, le tigre se tourna vers le corbeau et lui dit : "Merci, mon ami, pour ton aide précieuse ; sans doute, tu es supérieur à moi." Le corbeau, avec sagesse, lui répondit : "Non, mon ami, je ne suis pas meilleur que toi, tout comme tu n'es pas meilleur que moi. L'essentiel est de garder l'humilité, de reconnaître nos forces sans vanité et d'aider les autres. La vie est comme une roulette, et on ne sait jamais à quel moment elle va nous surprendre. Nous ne savons pas qui sera prêt à nous tendre la main." Le tigre sourit et dit : "Merci, mon pote, je t'admire." Puis ils poursuivirent leur fuite, et les chasseurs n'eurent plus jamais de nouvelles d'eux.

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Ne rigolez pas SVP.

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Pour paraître plus confiant, faites tout lentement.

Parlez plus lentement, marchez plus lentement, réfléchissez plus lentement et ne vous précipitez jamais !

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"Peut-être que ce monde est l'enfer d'une autre planète."

- Aldous Huxley -

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"Elève tes mots, pas ta voix. C'est la pluie qui fait grandir les fleurs, pas le tonnerre. "

Rûmi

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Tragédie dans la commune de Ville-sur-Mer

Ce matin, la commune de Ville-sur-Mer s’est réveillée en proie à une vive agitation en raison d’un incident survenu à bord d’un autobus transportant des passagers.

La police a découvert deux têtes dans le sac d’un voyageur à bord du bus numéro 72.

Les passagers ont perçu une odeur âcre émanant du sac à dos d’un jeune homme âgé de 21 ans. L’odeur nauséabonde a rapidement attiré l’attention des voyageurs, jusqu’à ce que l’un d’entre eux donne l’alerte au conducteur. Ce dernier a alors actionné ses feux de détresse et utilisé son klaxon à plusieurs reprises en apercevant un véhicule de police approchant en sens inverse.

Les forces de l’ordre ont immédiatement intercepté le bus et procédé à une fouille systématique des passagers. Nombre d’entre eux étaient paniqués, ignorant la nature exacte de la situation.

Un des policiers a été stupéfait en ouvrant le sac à dos du jeune homme et en y découvrant deux têtes qu’il transportait. Après un examen minutieux, les autorités ont réalisé qu’il s’agissait de deux têtes bien reconnaissables…
L’une appartenait à une gousse d’ail, l’autre à un oignon.

Merci de votre attention ! Vous pouvez désormais reprendre vos activités.

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Tu commences à mourir lentement
Si tu ne voyages pas,
Si tu ne lis pas,
Si tu n’écoutes pas les sons de la vie,
Si tu ne t’apprécies pas.

Tu commences à mourir lentement :
Quand tu tues ton estime de toi,
Quand tu refuses l’aide des autres.

Tu commences à mourir lentement :
Si tu deviens esclave de tes habitudes,
En empruntant chaque jour les mêmes chemins...
Si tu ne changes pas ta routine,
Si tu ne portes pas de couleurs différentes,
Ou si tu ne parles pas à des inconnus.

Tu commences à mourir lentement :
Si tu évites de ressentir la passion
Et ses émotions tumultueuses—
Celles qui font briller tes yeux
Et battre ton cœur plus vite.

Tu commences à mourir lentement :
Si tu ne prends pas le risque d’échanger le sûr contre l’incertain,
Si tu ne poursuis pas un rêve,
Si tu ne te permets pas,
Au moins une fois dans ta vie,
De fuir les conseils raisonnables.

Ne te laisse pas mourir lentement.
N’oublie pas d’être heureux !**

Pablo Neruda
Poète chilien, lauréat du prix Nobel de littérature en 1971


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Personne n'a vécu dans le passé et personne ne vivra dans le futur. Le seul temps qui existe réellement est le présent. Le présent est le seul moment où nous pouvons réellement expérimenter la vie. Le passé est déjà révolu et le futur demeure incertain.

🆔 @LeScribe