Loi Covid-19 et enfumage politique.
Suite à la soi-disant pandémie de coronavirus, le Conseil fédéral a décidé de saboter l’économie suisse voilà déjà une année. Le deuxième round de cette trahison prend une forme plus légaliste car il est maintenant question de voter sur le fait de donner oui ou non les pleins pouvoirs aux sept « Sages ».
Cette situation de rassemblement des pouvoirs exécutifs et législatifs a lieu d’être en temps de guerre ou devant la menace d’évènements extérieurs demandant une réponse forte et immédiate. Par contre, la situation actuelle est tout autre : non content d’avoir créé cette crise au moyen de mesures restrictives aussi extrêmes qu’inutiles, le Conseil fédéral, se prenant au jeu du pompier pyromane, veut maintenant distribuer des aides financières à son bon vouloir et ainsi récolter tous les lauriers.
Le système politique suisse n’est certes de loin pas exempt de défauts, mais de nombreuses commissions de surveillance et autres joyeusetés parlementaires existent afin d’empêcher une « dictature » de l’un ou l’autre des pouvoirs politiques. En court-circuitant toutes les voies utilisables actuellement, le Conseil fédéral n’a pas laissé d’autre choix au comité référendaire que de s’opposer à ce coup d’état anticonstitutionnel.
On entend dire aujourd’hui que si la loi est refusée, aucune aide financière ne pourra plus être accordée aux entreprises en difficulté. FAUX : une motion déposée par le conseiller national Pirmin Schwander demande à ce que l’accès aux aides financières soit séparé des mesures de contraintes que veut imposer le Conseil fédéral. Cela permettrait d’aider les entreprises dans le besoin sans céder au chantage d’une soi-disant nécessité du droit d’urgence réclamé par ce dernier.
Et en parlant de ces entreprises, cette fameuse aide apportée par la loi serait arrêtée à des chiffres punitifs et des concepts abstraits, voyez par vous-mêmes : chiffre d’affaire annuel inférieur à 60% (vous avez perdu seulement 50% ? tant pis pour vous) des années précédentes, entreprise « rentable ou viable » avant le début de la crise (la crise du covid ou la crise instaurée par les politiciens ?), etc.
Voilà pour le côté concret. Maintenant si l’on retire l’enfumage médiatique qui nous est imposé depuis le début de cette histoire, mortalité exagérée, tests manipulés, mesures castratrices, corruption des industries pharmaceutiques, on en passe et des meilleures, il apparaît très clairement que la logique voudrait que les auteurs de ce casse du siècle ne soient non pas remerciés comme ils le demandent, mais plutôt condamnés pour leurs malversations et leur corruption !
Rappelez-vous bien que la clique mondialiste qui dirige l’Europe à l’heure actuelle a pour but de détruire toute solidarité, tout lien qui oserait exister entre les individus pour les remplacer par des relations commerciales et des contrats financiers. La ruine des restaurateurs et des petits commerces voulue par Klaus Schwab et consort n’est que le début de la fracturation du lien social.
Il y a déjà 2000 ans, l’adage CUI BONO, à qui profite [le crime] ?, était déjà utilisé pour confondre les vrais coupables. Aujourd’hui nous ferions mieux de nous en souvenir avant qu’il ne soit trop tard.
RH63
Suite à la soi-disant pandémie de coronavirus, le Conseil fédéral a décidé de saboter l’économie suisse voilà déjà une année. Le deuxième round de cette trahison prend une forme plus légaliste car il est maintenant question de voter sur le fait de donner oui ou non les pleins pouvoirs aux sept « Sages ».
Cette situation de rassemblement des pouvoirs exécutifs et législatifs a lieu d’être en temps de guerre ou devant la menace d’évènements extérieurs demandant une réponse forte et immédiate. Par contre, la situation actuelle est tout autre : non content d’avoir créé cette crise au moyen de mesures restrictives aussi extrêmes qu’inutiles, le Conseil fédéral, se prenant au jeu du pompier pyromane, veut maintenant distribuer des aides financières à son bon vouloir et ainsi récolter tous les lauriers.
Le système politique suisse n’est certes de loin pas exempt de défauts, mais de nombreuses commissions de surveillance et autres joyeusetés parlementaires existent afin d’empêcher une « dictature » de l’un ou l’autre des pouvoirs politiques. En court-circuitant toutes les voies utilisables actuellement, le Conseil fédéral n’a pas laissé d’autre choix au comité référendaire que de s’opposer à ce coup d’état anticonstitutionnel.
On entend dire aujourd’hui que si la loi est refusée, aucune aide financière ne pourra plus être accordée aux entreprises en difficulté. FAUX : une motion déposée par le conseiller national Pirmin Schwander demande à ce que l’accès aux aides financières soit séparé des mesures de contraintes que veut imposer le Conseil fédéral. Cela permettrait d’aider les entreprises dans le besoin sans céder au chantage d’une soi-disant nécessité du droit d’urgence réclamé par ce dernier.
Et en parlant de ces entreprises, cette fameuse aide apportée par la loi serait arrêtée à des chiffres punitifs et des concepts abstraits, voyez par vous-mêmes : chiffre d’affaire annuel inférieur à 60% (vous avez perdu seulement 50% ? tant pis pour vous) des années précédentes, entreprise « rentable ou viable » avant le début de la crise (la crise du covid ou la crise instaurée par les politiciens ?), etc.
Voilà pour le côté concret. Maintenant si l’on retire l’enfumage médiatique qui nous est imposé depuis le début de cette histoire, mortalité exagérée, tests manipulés, mesures castratrices, corruption des industries pharmaceutiques, on en passe et des meilleures, il apparaît très clairement que la logique voudrait que les auteurs de ce casse du siècle ne soient non pas remerciés comme ils le demandent, mais plutôt condamnés pour leurs malversations et leur corruption !
Rappelez-vous bien que la clique mondialiste qui dirige l’Europe à l’heure actuelle a pour but de détruire toute solidarité, tout lien qui oserait exister entre les individus pour les remplacer par des relations commerciales et des contrats financiers. La ruine des restaurateurs et des petits commerces voulue par Klaus Schwab et consort n’est que le début de la fracturation du lien social.
Il y a déjà 2000 ans, l’adage CUI BONO, à qui profite [le crime] ?, était déjà utilisé pour confondre les vrais coupables. Aujourd’hui nous ferions mieux de nous en souvenir avant qu’il ne soit trop tard.
RH63