RACISME ET CATHOLICISME
Lorsqu’un catholique aborde le sujet du racisme, ses adversaires brandissent souvent l’argument fallacieux selon lequel l’Église aurait condamné le racisme. Il est très important de comprendre que l’Église ne condamne pas le souci de préservation de l’intégrité raciale d’un peuple mais une certaine forme de racisme qui s’apparente à un réductionnisme biologique.
Un document capital, mais bien oublié, permet de saisir plus précisément cette nuance :
Il s’agit de la lettre du 13 avril 1938 émanant de la Sacrée Congrégation des Séminaires et des Universités (dont le pape en personne était le préfet) et adressée à toutes les universités catholiques du monde. Cette lettre exprime six conceptions excessives du fait racial à rejeter :
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Lorsqu’un catholique aborde le sujet du racisme, ses adversaires brandissent souvent l’argument fallacieux selon lequel l’Église aurait condamné le racisme. Il est très important de comprendre que l’Église ne condamne pas le souci de préservation de l’intégrité raciale d’un peuple mais une certaine forme de racisme qui s’apparente à un réductionnisme biologique.
Un document capital, mais bien oublié, permet de saisir plus précisément cette nuance :
Il s’agit de la lettre du 13 avril 1938 émanant de la Sacrée Congrégation des Séminaires et des Universités (dont le pape en personne était le préfet) et adressée à toutes les universités catholiques du monde. Cette lettre exprime six conceptions excessives du fait racial à rejeter :