LA VÉRITÉ FAIT MAL, MAIS LA DOULEUR ENSEIGNE TOUJOURS...
À tous ceux qui sont vertueux et désireux d'apprendre, la vérité parfois cruelle doit être entendue.
Qu'est-ce qu'il faut pour que certains, notamment les plus concernés, prennent enfin conscience et réagissent ?
La prétendue pandémie mondiale a été habilement orchestrée pour imposer des injections que l'on a présentées comme des vaccins contre le COVID, alors qu'elles ne sont en réalité que des armes radiobiologiques composées de nanolipides et d'autres substances mortelles.
Ces injections ont été administrées à près de 5 à 6 milliards d’individus à travers le monde. La ruse déployée ici est d'une sophistication indiscutable.
Comment, dans ce contexte, espérer que des personnes ignorantes de la vérité, et souvent plongées dans une profonde indifférence face aux événements qui se sont déroulés et qui continuent, puissent accepter cette réalité ?
Comment ces individus, nombreux à avoir reçu plusieurs doses, peuvent-ils aujourd'hui faire face à la vérité ?
Plongés dans une léthargie intellectuelle et spirituelle soigneusement orchestrée par des manipulations mentales, ils refusent d’admettre l’évidence : ils ont été trompés.
Mais leur ignorance, bien que douloureuse, leur paraît plus supportable que la vérité qui remet en cause tout ce qu’ils ont cru.
La souffrance qui en découle, liée à leur aveuglement volontaire ou imposé, est insoutenable, et il leur est plus facile de nier la réalité que de l'affronter.
Beaucoup ne voulaient pas voir, ou n'ont pas pu voir, les effets dramatiques des injections : décès, effets secondaires graves, et l’ampleur du complot mondialiste qui se joue sous nos yeux.
Le silence imposé par la mafia politico-médiatique et scientifique rend cette réalité encore plus difficile à admettre.
Il est bien plus facile de nier que d’accepter la vérité, et pourtant, presque tous ceux qui ont accepté ces injections sont d’une manière ou d’une autre responsables, voire complices, du malheur de leurs proches, qu’il s’agisse de souffrances physiques, de handicaps ou même de décès.
Leur faute réside dans leur manque de discernement, dans leur aveuglement face aux avertissements de ceux qui, par amour et bienveillance, ont tenté de leur dire la vérité, même si cette vérité fait mal.
La solution, bien que simple en théorie, demeure difficile à appliquer dans la pratique : reconnaître son ignorance, admettre ses erreurs et, au besoin, chercher le pardon ou du moins du soutien et de la compassion.
Les erreurs sont réparables tant qu'on a la lucidité d'en prendre conscience. Le véritable mal, c'est de persister dans l'ignorance et la répétition de ces mêmes erreurs.
Que reste-t-il à sauver pour ceux qui se trouvent dans cette situation ?
Leur conscience. Il est encore temps de se racheter, en prenant acte du crime dont ils ont été victimes, eux et leurs familles.
Il est essentiel de différencier réalisme et vérité douloureuse de pessimisme et d’anxiété.
Le but n’est pas de semer la peur, mais d’informer avec lucidité sur la gravité de la situation.
Il est désormais urgent de réagir, de répondre avec humanisme, sagesse et honneur face à cette triste réalité.
L'élite qui domine vos gouvernements ne vous veut aucun bien.
Elle vous considère comme une simple ressource, et la perte de cette ressource devient aujourd'hui une option souhaitée dans le cadre de leur projet de « grand remplacement » et de transition vers un monde dominé par l'intelligence artificielle et le transhumanisme.
Est-ce suffisamment clair ?
Devoir de vérité.
La Résistance