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Début novembre 2024, un navire de pêche norvégien avait réussi à révéler son excellente capacité d'auxiliaire de défense anti-sous-marine, puisqu'il avait pêché le sous-marin américain USS Virginia qui rôdait près des côtes norvégiennes. Même si cette espèce de requin n'est pas comestible, c'est une superbe prise, puisque le prix de ce poisson est d'environ 4 milliards $ s'il est capturé vivant et en bonne santé. Les pêcheurs ont fait preuve d'ingéniosité, emmêlant l'hélice dans leur filet, la proie ne pouvait plus s'échapper.

Malheureusement, l'équipe d'auxiliaires civils rattachés à la défense ASM norvégienne, n'avait pas connaissance du fait que la Norvège était déjà tombée sous le contrôle des USA. Une équipe de gardes-côte est arrivée sur les lieux pour libérer l'hélice de l'USS Virginia qui a ainsi pu continuer sa patrouille, à la recherche d'autres auxiliaires civils qui tenteraient de collaborer avec d'éventuels souverainistes norvégiens, ou peut-être même avec la Russie, sait-on jamais, en entravant la liberté de circulation des sous-marins américains en mer de Norvège, tout en renseignant l'ennemi de leur présence !

Toutefois, les pêcheurs ont obtenu 6 mille $ de la marine norvégienne pour compenser les dommages causés au filet et 1 600 $ pour le manque à gagner sur cette pêche !

Operline n'en revient pas que la marine du vassal norvégien rembourse rapidement le pêcheur pour les dégâts provoqués par un sous-marin US.

Dans un pays de l'Europe occidentale, on se souvient d'une affaire qui avait fait grand bruit, le navire ayant été entraîné sous l'eau avec ses 5 marins. Malheureusement, les auxiliaires civils de la défense anti-sous-marine de ce pays qu'on ne citera pas, n'ont pas gagné leur duel. Mais le plus intéressant, voyez comment ce métier est ingrat : les familles n'ont jamais réussi à obtenir la moindre prime, malheur aux vaincus ! Bien pire, cela a permis au pays en question, bien moins ouvert que la Norvège, de ne jamais reconnaître la responsabilité d'un méchant requin non comestible, préférant l'effet Streisand pendant une vingtaine d'années de procédures internationales toutes plus bancales les unes que les autres, pour finir par ordonner la destruction physique des preuves 19 ans après l'incident.

Si la bureaucratie norvégienne montre une meilleure intelligence (ce n'était pas difficile), il aurait été intéressant de voir sa réaction si le chalutier avait coulé ou si le sous-marin US avait pu continuer sa route sans se faire identifier...

Cela montre aussi le peu de compétence des équipages sous-mariniers qui ont comme principale responsabilité de savoir ce qui les entoure et ce qui navigue en surface. Se jeter dans un filet est une faute lourde, et signaler sa présence est une défaite militaire (au moins, le sous-marin impliqué dans l'ancienne affaire mentionnée ci-dessus a réussi à ne pas se faire identifier). Ces affaires montrent également l'absence de souveraineté des pays européens, mais on n'en est plus surpris depuis au moins 1945 ou 1918.
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L'actualité internationale (dont syrienne) et l'actualité intérieure française, par Francis Cousin. Une vision alternative, pour tenter de comprendre les incohérences, sous l'angle du capitalisme.
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Suite et possible fin de l'aventure navale dans les détroits danois

Le sous-marin (possiblement le Mozhaisk) et le remorqueur de sauvetage E. Churov, sous escorte de la corvette Soobrazitelny, ont traversé le détroit danois du Grand Belt en direction de Kaliningrad / Baltiisk.

Le remorqueur S. Balk et le remorqueur de sauvetage SB-123 avaient traversé le même détroit hier soir discrètement de nuit.

Ainsi s'achèvent les 9 jours de bizarreries qui resteront probablement sans éclaircissement. Depuis l'appareillage au début des vacances de Noël du sous-marin et de son remorqueur sans destination, jusqu'au retour sans difficulté du S. Balk et du « Mozhaisk » malgré la référence radio à un navire nécessitant des réparations, en passant par le délai d'envoi des remorqueurs de sauvetage qui se sont finalement arrêtés à 100 km de la position des deux bâtiments, et par les mouvements illogiques des navires dans les détroits danois, rejoints par la corvette Soobrazitelny le 4 janvier à l'occasion de son retour de l'Atlantique.

Les terroristes pourraient chercher à faire partir l'armée russe de ses bases situées sur le territoire qu'ils contrôlent en ex-Syrie (base navale de Tartous et base aérienne de Hmeimim) en empêchant qu'elle puisse évacuer ses matériels, afin de les capturer pour compenser ce que l'armée israélienne a détruit. C'est ce qui pourrait expliquer leur refus de laisser accoster les navires de transport russes à la base navale russe de Tartous, où attend le matériel retiré de l'ancienne Syrie.
@knyaz_cherkasky estime que si l'armée russe doit abandonner son matériel aux terroristes (à Tartous nombreux véhicules, quelques navires utilisés par l'ancienne SAA, ..., à Hmeimim il pourra y rester des avions et hélicoptères entres autres choses), alors une fois de plus, au pire ce sera l'armée israélienne qui devra détruire tout ce qui restera là. On imagine qu'elle le fera avec très grande joie.
On préfère ne pas évoquer les soldats russes en eux-mêmes : tout dépendra de la façon dont une hypothétique évacuation aura lieu. Si ça se fait de manière concertée, ou s'il y a un assaut de racailles terroristes contre les bases russes.
Les officiels russes continuent à essayer de persuader les terroristes qu'ils bombardaient pendant 9 ans qu'il pourrait y avoir un intérêt mutuel à poursuivre une cohabitation et même une coopération militaire contre des rivaux de HTS, laissant de côté tous les principes moraux et éthiques.

Si l'accès maritime de la base navale russe de Tartous, en ex-Syrie, est bloqué par les terroristes, ils n'ont pas interdit le fonctionnement de la base aérienne russe de Hmeimim (ils filtrent tout de même ce qui en sort et en rentre par la voie terrestre).
L'armée russe a commencé à transférer du matériel stocké sur la base aérienne directement vers la Libye de LNA/Haftar. Dans les semaines passées, le matériel repartait en Russie et un autre transport avec un matériel plus ou moins ré-adapté partait de Russie vers la Libye.

En Libye, la partie russe affirme que ce n'est pas elle qui restaure la base aérienne de Maaten al-Sarra, dans le sud-est du pays. Il s'agirait des EAU, pays qui finance historiquement LNA, notamment en payant des mercenaires (dont Wagner) et qui soutient aussi les FRR au Soudan voisin. Difficile de confirmer l'une ou l'autre des thèses pour l'instant, mais il serait bénéfique à LNA que l'ensemble des forces qui la soutiennent coopèrent entre elles et partagent l'ensemble de leurs infrastructures stratégiques.
Il y a des contradictions et de l'opportunisme chez ceux qui soutiennent LNA, on l'a signalé depuis au moins 2019.

A Jableh, ville voisine de la base aérienne russe de Hmeimim, une immense manifestation populaire s'est tenue pour protester contre les tueries des terroristes dans l'ancien pays.

Des éléments isolés de la SAA en province de Lattaquié continuent de tendre des embuscades aux terroristes, dont un des chefs a été éliminé.

Du fait du blocus total de l'Occident contre la Syrie, les infrastructures de production d'électricité étaient dans un terrible état et peu d'hydrocarbure était livré au pays. L'Iran est devenu le principal fournisseur, par navire. Aujourd'hui, la Syrie n'existe plus, les infrastructures de production d'électricité tombent en ruines et l'Iran ne fournit plus d'hydrocarbure. Les pétromonarchies et la Turquie ne compensent pas suffisamment et la situation continue à se dégrader. C'est notamment ce qui motive la Turquie à reprendre avec ses terroristes les champs d'hydrocarbure syriens contrôlés par les américano-kurdes mais Washington ne les cédera pas gratuitement, et les tribus locales non plus 😉💰

D'après les Iraniens, au Liban, le général Joseph Aoun, soutenu par l'Arabie Saoudite, le Qatar, les États-Unis et la France, a été mis à la présidence du pays, ce qui scelle la fin de l'influence iranienne au Proche-Orient. @AssadStash et @knyaz_cherkasky confirment que les récents coups portés au Hezbollah et à la Syrie ont détruit l'influence iranienne, remodelant la région en faveur de l'Occident.

Si l'Occident demande et obtient l'identité de milliers d'utilisateurs de Telegram depuis septembre 2024, ce n'est pas le cas de la Russie, qui continue à ne recevoir (ou à ne demander) que les identités limitées aux cas les plus sérieux. C'est-à-dire 0, pour les cas de droit commun.

Le côté positif de la propagande politique de l'équipe Trump est qu'elle remet le bon sens au milieu de l'environnement politique, ce qui peut avoir pour effet de relancer le développement du principal pays du monde (dont dépendent les autres pays).

Par exemple, Trump dénonce le détournement des moyens destinés à l'entretien et au développement du réseau d'eau en Californie au profit d'idioties "écologiques" bidons et d'autres préoccupations dites "sociétales".

C'est confirmé par le département des pompiers : le résultat est qu'entre autres il n'y a plus d'eau pour éteindre les incendies, et que des dizaines de milliards $ partent en fumée, en plus de l'argent public détourné, sans compter les nombreuses victimes.
https://t.me/rybar/67018
https://t.me/usaperiodical/11301

Mise à jour de l'étude de la manipulation politique (Viol des Foules par la Propagande Politique, de Serge Tchakhotine) :

🔷 Page 124 (annexe) :
Les stratégies occidentales de propagande se fondent (dans le cas évoqué page 124) sur des techniques simplifiées et répétitives, qui minimisent les efforts tout en maximisant l'impact. En plus de bénéficier de l’initiative, le menteur se trouve largement favorisé par rapport au défenseur, car déconstruire une affirmation demande toujours plus de temps, d’énergie et de ressources.

Les « trolls » et provocations ont pour but de mobiliser l'énergie de leurs cibles au détriment de leur propre agenda. Les ignorer ou leur répondre de manière concise permet de rester maître de son temps, de son argent (dans le cas d’activités payantes), de ses priorités. Cependant, ce choix est aussi risqué :
- Ignorer certaines accusations ou provocations pourrait être interprété comme une faiblesse ou une validation tacite des allégations adverses,
- La propagande adverse, si laissée sans réponse, peut s'ancrer durablement dans l'esprit des masses.

Pour ma part, je privilégie l’honnêteté, la recherche de la vérité et la dénonciation des incohérences, des faux et des escroqueries, même s'il faut reconnaître que l'ennemi en abuse trop facilement.
Il convient donc de répondre uniquement aux accusations qui risquent de s'enraciner ou de créer un réel dommage, tout en laissant de côté les provocations mineures ou insignifiantes. La difficulté réside dans l’évaluation préalable de l’importance d’une attaque, afin de la prioriser efficacement.

En réussissant à adopter une stratégie d’ignorance sélective, on s’aligne sur les pratiques de l’Occident, qui privilégie l’efficacité à moindre coût, tout en limitant les ressources dépensées dans des batailles inutiles ou contre-productives.

En complément, un véritable rapport de force médiatique durable repose sur une population capable de discerner par elle-même les manipulations. L’éducation des masses à la propagande politique pourrait non seulement leur permettre d’identifier elles-mêmes une partie des manipulations, mais aussi diminuer la pression sur les campagnes de riposte, en rendant la population plus résiliente face à la désinformation.