Sur les 705 patient·e·s ayant effectué un examen gynécologique, 24% (n=172) présentaient des lésions génitales. Parmi les 467 pénétrations vaginales rapportées, le pourcentage de lésions génitales était de 28% (n=129)
Il a été constaté des lésions génitales chez 21 % des patient·e·s de 19 à 49 ans, 30% des patient·e·s de 14 à 19 ans et 33% des patient·e·s de 50 à 93 ans.
Des lésions génitales ont été relevées dans 38% des agressions sexuelles impliquant plus d’un agresseur, et 25 % des agressions sexuelles perpétrées par un unique auteur.
REMEMBER: TERROR ATTACK TO WOMEN IS DEATH PENALTY! (or life sentence with our shitty laws!)
https://t.me/CrimeExamples/53
to
https://t.me/CrimeExamples/73
https://t.me/DeathSentenceNOW/62
https://t.me/CrimeExamples/117
Dans les cas où la/le survivant·e connaissait l’agresseur, le pourcentage de lésions génitales était de 24 % contre 31 % quand elle ne connaissait pas l’auteur.
https://t.me/RapeTelegram/2077
WE NEED TO BRING DEATH PENALTY BACK!
https://t.me/DeathSentenceNOW/62
https://t.me/EuropeFacts/57
https://t.me/RapeTelegram/2076
https://t.me/RapeTelegram/2087
https://t.me/LawsTelegram/132
without forgetting is not just about 💉
https://t.me/DeathSentenceFAQ/134
and not related to 😋
https://t.me/DeathSentenceFAQ/122
Les médecins légistes ont fait mention de lésions corporelles dans 84% des rapports d’agression sexuelle (n = 619) ( gure 2). Par ordre décroissant d’incidence, les lésions aux membres inférieurs (n = 461, 75 %) et aux membres supérieurs (n=443, 72%), suivi par les lésions au torse (n = 189, 31 %), puis à la tête/au visage (n=149, 24%), au dos (n=121, 20%), au cou (n=115, 19 %) et aux fesses (n = 93, 15 %) ont été les lésions corporelles enregistrées les plus fréquentes.
Les pénétrations vaginales digitales (pénétration avec le doigt) et avec le pénis présentaient des taux similaires de lésions génitales (28% vs 27%).
Il a été constaté des lésions génitales chez 21 % des patient·e·s de 19 à 49 ans, 30% des patient·e·s de 14 à 19 ans et 33% des patient·e·s de 50 à 93 ans.
Des lésions génitales ont été relevées dans 38% des agressions sexuelles impliquant plus d’un agresseur, et 25 % des agressions sexuelles perpétrées par un unique auteur.
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Les médecins légistes ont fait mention de lésions corporelles dans 84% des rapports d’agression sexuelle (n = 619) ( gure 2). Par ordre décroissant d’incidence, les lésions aux membres inférieurs (n = 461, 75 %) et aux membres supérieurs (n=443, 72%), suivi par les lésions au torse (n = 189, 31 %), puis à la tête/au visage (n=149, 24%), au dos (n=121, 20%), au cou (n=115, 19 %) et aux fesses (n = 93, 15 %) ont été les lésions corporelles enregistrées les plus fréquentes.
Les pénétrations vaginales digitales (pénétration avec le doigt) et avec le pénis présentaient des taux similaires de lésions génitales (28% vs 27%).