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L'histoire de l'exclusion de l'homosexualité de la liste des troubles psychiatriques aidera les gens à comprendre le mécanisme de manipulation massive de la consciencePartie 1 Partie 2 Partie 3👇
🔸C’est ainsi que le scientifique et psychiatre américain, le professeur Jeffrey Satinover, décrit les événements de ces années-là dans son article « Ni scientifique, ni démocratique » [12] : «
En 1963, l'Académie de médecine de New York a chargé son comité de santé publique de préparer un rapport sur la question de l'homosexualité, motivée par les inquiétudes selon lesquelles le comportement homosexuel était endémique dans la société américaine. La commission est arrivée aux conclusions suivantes :
👉« ... L'homosexualité est effectivement une maladie. Un homosexuel est un individu émotionnellement perturbé qui est incapable de nouer des relations hétérosexuelles normales... Certains homosexuels sont allés au-delà d'une position purement défensive et soutiennent qu'une telle déviation représente un mode de vie désirable, noble et préférable... »🔸10 ans plus tard, en 1973, sans la présentation de données scientifiques significatives, sans observations et analyses correspondantes, la position des promoteurs homosexuels est devenue le dogme de la psychiatrie (voyez à quel point le cours a radicalement changé en seulement 10 ans !). Il est impossible de prouver la normalité de l’homosexualité d’un point de vue médical et biologique ; il suffit de voter pour. Ce type de méthode "scientifique" a été utilisé pour la dernière fois au Moyen Âge pour résoudre la question « si la Terre est ronde ou plate ». Ainsi, le diagnostic « 302.0 ~ Homosexualité » a été remplacé par le diagnostic « 302.00 ~ Homosexualité égodystonique » et déplacé dans la catégorie des troubles psychosexuels.
🔸En 1987, l’APA a discrètement supprimé toute référence à l’homosexualité de sa nomenclature, cette fois sans même prendre la peine de voter. L’OMS a suivi les traces de l’APA et a également supprimé en 1990 l’homosexualité de sa classification des maladies, ne conservant que ses manifestations égodystoniques dans la section F66. Pour des raisons de "politiquement correct", cette catégorie inclut, pour la plus grande absurdité, également l’orientation hétérosexuelle, qu’« un individu souhaite changer en raison de troubles psychologiques et de troubles du comportement associés »
🔸Le Dr Dean Bird, ancien président de l'Association nationale pour la recherche et la thérapie de l'homosexualité, a accusé l'APA de fraude scientifique : «
L'APA est devenue une organisation politique avec un programme militant pour les homosexuels dans ses publications officielles, bien qu'elle se présente comme une organisation scientifique présentant des preuves scientifiques de manière non partisane. L’APA supprime les études et les revues de recherche qui réfutent ses positions politiques et intimide les membres de ses rangs qui s’opposent à cet abus du processus scientifique. Beaucoup ont été contraints de garder le silence par crainte de perdre leur statut professionnel, d’autres ont été ostracisés et leur réputation a été endommagée – non pas parce que leurs recherches manquaient de rigueur ou de valeur – mais parce que leurs résultats allaient à l’encontre de la « politique » officielle affichée » [20]
1️⃣1️⃣Satinover J. Neither Scientific nor Democratic. The Linacre Quarterly. Vol. 66: No. 2, Article 7. 1999; p. 84.
1️⃣2️⃣APA. Homosexuality: Proposed Change in DSM 2 (1973)
1️⃣3️⃣Bayer R. Homosexuality and American Psychiatry: The Politics of Diagnosis. 1981
1️⃣4️⃣Eric Marcus. Making history : the struggle for gay and lesbian equal rights,1945-1990 (1991)
1️⃣5️⃣E. Hooker. The Adjustment of the Male Overt Homosexual (1957)
1️⃣6️⃣Time. Sexes: Sick Again, 1978
1️⃣7️⃣Терпимость: единство среди различий. Роль психиатров
1️⃣8️⃣Homosexuality, gender identity disorder, and psychiatry // A Historical Dictionary of Psychiatry. — Oxford U.P., 2005. С.127
1️⃣9️⃣Dean Byrd. APA and Homosexuality: a Case of Scientific Fraud
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