D'après Anas Ibn Malik (qu'Allah l'agrée) :
Le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) faisait partie des gens qui avaient le meilleur comportement.
Un jour il m'a envoyé pour faire quelque chose (1) alors j'ai dit : Par Allah ! Je n'y vais pas et j'avais en moi l'intention d'aller faire la chose que le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) m'avait ordonné (2).
Je suis donc sorti jusqu'à passer vers les enfants qui jouaient dans le marché.
Alors le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a attrapé ma nuque par derrière moi.
Je l'ai regardé, il riait et m'a dit : « Ô petit Anas ! Es-tu allé faire ce que je t'ai ordonné ? ».
J'ai dit : Oui, j'y vais ô Messager d'Allah !
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2310)
(1) La mère de Anas, Oum Souleym (qu'Allah l'agrée), avait laissé Anas (qu'Allah les agrée) au Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) lorsqu'il était petit afin qu'il soit son servant et qu'ainsi il puisse profiter de son éducation.
(2) C'est à dire qu'Anas (qu'Allah l'agrée) s'est dit dans sa tête qu'il n'allait pas faire ce que lui avait demandé le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) tout de suite mais qu'il allait plutôt y aller un petit peu plus tard.
(Fath Al Moun'im Charh Sahih Mouslim vol 9 p 147)
عن أنس بن مالك رضي الله عنه قال : كان رسولُ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ من أحسنِ الناسِ خُلُقًا .
فأرسلَني يومًا لحاجةٍ . فقلتُ : واللهِ ! لا أذهبُ وفي نفسي أنْ أذهبَ لما أمرني به نبيُّ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ
فخرجتُ حتى أمرُّ على صبيانٍ وهم يلعبون في السوقِ فإذا رسولُ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ قد قبض بقفاي من ورائي . فنظرتُ إليه وهو يضحكُ فقال : يا أُنَيسُ ! أَذَهبتَ حيثُ أمرتُك ؟
قلتُ : نعم أنا أذهبُ يا رسولَ اللهِ !
(رواه مسلم في صحي
Le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) faisait partie des gens qui avaient le meilleur comportement.
Un jour il m'a envoyé pour faire quelque chose (1) alors j'ai dit : Par Allah ! Je n'y vais pas et j'avais en moi l'intention d'aller faire la chose que le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) m'avait ordonné (2).
Je suis donc sorti jusqu'à passer vers les enfants qui jouaient dans le marché.
Alors le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) a attrapé ma nuque par derrière moi.
Je l'ai regardé, il riait et m'a dit : « Ô petit Anas ! Es-tu allé faire ce que je t'ai ordonné ? ».
J'ai dit : Oui, j'y vais ô Messager d'Allah !
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2310)
(1) La mère de Anas, Oum Souleym (qu'Allah l'agrée), avait laissé Anas (qu'Allah les agrée) au Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) lorsqu'il était petit afin qu'il soit son servant et qu'ainsi il puisse profiter de son éducation.
(2) C'est à dire qu'Anas (qu'Allah l'agrée) s'est dit dans sa tête qu'il n'allait pas faire ce que lui avait demandé le Prophète (que la prière d'Allah et Son salut soient sur lui) tout de suite mais qu'il allait plutôt y aller un petit peu plus tard.
(Fath Al Moun'im Charh Sahih Mouslim vol 9 p 147)
عن أنس بن مالك رضي الله عنه قال : كان رسولُ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ من أحسنِ الناسِ خُلُقًا .
فأرسلَني يومًا لحاجةٍ . فقلتُ : واللهِ ! لا أذهبُ وفي نفسي أنْ أذهبَ لما أمرني به نبيُّ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ
فخرجتُ حتى أمرُّ على صبيانٍ وهم يلعبون في السوقِ فإذا رسولُ اللهِ صلَّى اللهُ عليه وسلَّمَ قد قبض بقفاي من ورائي . فنظرتُ إليه وهو يضحكُ فقال : يا أُنَيسُ ! أَذَهبتَ حيثُ أمرتُك ؟
قلتُ : نعم أنا أذهبُ يا رسولَ اللهِ !
(رواه مسلم في صحي