Une pénétration vaginale a été rapportée par 67% (n = 485), une pénétration anale par 17 % (n = 122) et une pénétration orale par 21% (n=154) d’entre elles/ eux (tableau 2).
Près de 60 % (n = 379) a déclaré que l’agression était intervenue sans préservatif, contre seulement 6% des victimes qui mentionnait l’usage d’un préservatif. 32% ne savaient pas si un préservatif avait été utilisé, pour cause d’amnésie.
Parmi les personnes ayant indiqué avoir subi une pénétration anale, il s’agissait dans 75% des cas d’une pénétration avec le pénis et dans 33% des cas d’une pénétration digitale. Il a été rapporté une éjaculation dans 13 % des agressions sexuelles avec pénétration anale par le pénis.
Parmi les patient·e·s ayant subi de la violence, 95 % parlaient de violence physique (n = 336) et 32 % (n = 114) ont dit avoir subi une violence psychologique.
Divers types de violence physique ont été employés, comme le maintien au sol par la contrainte (n = 244), les coups (36 %), la bousculade (31%), la strangulation (25%), le maintien par les cheveux (15%) ou la morsure (7%).
Il a été étudié un total de 962 rapports d’agression sexuelle durant les 48 mois de l’étude (414 émanant de l’Hôpital universitaire vaudois et 548 des Hôpitaux universitaires de Genève), dont 740 ont été retenus pour l’analyse.
Vingt-trois pour cent (n = 222) des agressions sexuelles rapportées étaient inéligibles pour diverses raisons.
Sur les 222 déclarations exclues, 40% (n=89) concernaient des mineur·e·s de moins de 14 ans, 23 % (n = 51) des hommes ou garçons cisgenres. Trente-quatre patient·e·s ont déclaré des agressions sexuelles sur d’autres sites que les HUG ou le CHUV.
Le tableau 1 donne les détails des caractéristiques sociodémographiques des 740 patient·e·s s’étant présenté·e·s aux urgences hospitalières pour agression sexuelle (âge moyen 27,7 ± 11,8 ans), intervalle 14-93 ans, médiane 24 ans (IIQ 19-33).
Près de 60 % (n = 379) a déclaré que l’agression était intervenue sans préservatif, contre seulement 6% des victimes qui mentionnait l’usage d’un préservatif. 32% ne savaient pas si un préservatif avait été utilisé, pour cause d’amnésie.
Parmi les personnes ayant indiqué avoir subi une pénétration anale, il s’agissait dans 75% des cas d’une pénétration avec le pénis et dans 33% des cas d’une pénétration digitale. Il a été rapporté une éjaculation dans 13 % des agressions sexuelles avec pénétration anale par le pénis.
Parmi les patient·e·s ayant subi de la violence, 95 % parlaient de violence physique (n = 336) et 32 % (n = 114) ont dit avoir subi une violence psychologique.
Divers types de violence physique ont été employés, comme le maintien au sol par la contrainte (n = 244), les coups (36 %), la bousculade (31%), la strangulation (25%), le maintien par les cheveux (15%) ou la morsure (7%).
Il a été étudié un total de 962 rapports d’agression sexuelle durant les 48 mois de l’étude (414 émanant de l’Hôpital universitaire vaudois et 548 des Hôpitaux universitaires de Genève), dont 740 ont été retenus pour l’analyse.
Vingt-trois pour cent (n = 222) des agressions sexuelles rapportées étaient inéligibles pour diverses raisons.
Sur les 222 déclarations exclues, 40% (n=89) concernaient des mineur·e·s de moins de 14 ans, 23 % (n = 51) des hommes ou garçons cisgenres. Trente-quatre patient·e·s ont déclaré des agressions sexuelles sur d’autres sites que les HUG ou le CHUV.
Le tableau 1 donne les détails des caractéristiques sociodémographiques des 740 patient·e·s s’étant présenté·e·s aux urgences hospitalières pour agression sexuelle (âge moyen 27,7 ± 11,8 ans), intervalle 14-93 ans, médiane 24 ans (IIQ 19-33).