Les Natifs

📌 14.11.2021

Les Natifs répondent aux coquettes ! 


Le 11 novembre, le groupe de chanteuses « Les Coquettes » a publié une chanson intitulée « Un 11 novembre au poil », qui tourne en dérision le sacrifice des soldats français de la Première Guerre mondiale. 


Hier soir, une dizaine de Natifs ont déployé une banderole devant le théâtre de l’Alhambra où se joue le spectacle de ces Coquettes, afin de rappeler que la jeunesse parisienne est loyale à ses ancêtres morts au champ d’honneur et qu’elle ne permet pas à trois pseudo-chanteuses de souiller leur mémoire et de cracher sur leur tombe. Nous sommes fiers de nos aïeux, héros de la France et n’acceptons pas les railleries de ces militantes féministes. 


L’odieux est la porte de sortie du ridicule ! 

Gloire et honneur à nos poilus !

🚩11.11.2021

Hier soir, les Natifs ont rendu hommage aux morts parisiens de la Grande Guerre en collant plusieurs portraits dans Paris. Notre mouvement a ainsi voulu honorer la mémoire de tous ces hommes morts pour défendre notre terre !

A l’heure où Paris, ville à l’histoire millénaire, est assaillie par tant de maux, nous avons choisi le 11 novembre pour lancer officiellement notre mouvement de jeunesse, fier et enraciné !

Contre le saccage de notre ville, son embourgeoisement, et une insécurité exponentielle qui gangrène notre quotidien, nous avons fait le seul choix possible : celui de la résistance.

Dans un Paris (tiers-)mondialisé où tu dois survivre entre des quartiers qui se transforment en coupe-gorge et des loyers inatteignables, oublié par l’État et raillé par les médias, tu penses ne pas pouvoir faire face... Mais tu n’es pas seul !

Les Natifs sont là et avec eux, Paris jamais ne sombrera !

Fiers, fidèles et profondément enracinés, les Natifs sont les jeunes parisiens et franciliens qui, ne reconnaissant plus Paris, veulent lui rendre sa splendeur. À la fois politique et communautaire, nous rassemblons des jeunes soucieux de défendre notre ville face à toutes les menaces qui l’assaillent !

À l’avant-poste de notre ville, une seule place vide : la tienne !