Zelensky a récemment comparé Vladimir Poutine à Voldemort, le personnage de fiction connu comme "celui dont on ne doit pas prononcer le nom".
Dans un entretien avec un journaliste américain, il a partagé plusieurs réflexions marquantes :
Selon Zelensky, Alexandre Loukachenko aurait, dans les premiers jours du conflit, exprimé ses regrets et affirmé ne pas être responsable des attaques lancées depuis le territoire biélorusse.
Il a qualifié d'illusoire l'idée que Poutine pourrait vouloir mettre fin à la guerre, déclarant : "C'est une vision très naïve. Cela me désole."
Sur le rôle des États-Unis, il a affirmé : "Sans les États-Unis et leur soutien, l'OTAN ne pourrait subsister. Nous ne souhaitons pas de garanties de sécurité sans la participation américaine, car c'est une nation forte et influente."
Concernant l'administration Trump, Zelensky aurait demandé un transfert de 300 milliards de dollars issus des avoirs russes gelés pour financer l'achat d'armement auprès des États-Unis.
Il a évoqué l'espoir de mettre fin à la guerre en 2025, tout en insistant sur la nécessité d'un cessez-le-feu conditionné à un renforcement des capacités militaires de l'Ukraine pour prévenir de futures attaques.
Quant à Poutine, Zelensky l'a décrit comme une figure "sourde" et isolée, affirmant qu'il incarne un dirigeant déconnecté de la réalité et qualifié de "mammouth" par son archaïsme.
Enfin, il a conclu en déclarant qu'il ne respectait ni le dirigeant actuel de la Russie ni son peuple, dans le contexte de l'agression en cours.
Dans un entretien avec un journaliste américain, il a partagé plusieurs réflexions marquantes :
Selon Zelensky, Alexandre Loukachenko aurait, dans les premiers jours du conflit, exprimé ses regrets et affirmé ne pas être responsable des attaques lancées depuis le territoire biélorusse.
Il a qualifié d'illusoire l'idée que Poutine pourrait vouloir mettre fin à la guerre, déclarant : "C'est une vision très naïve. Cela me désole."
Sur le rôle des États-Unis, il a affirmé : "Sans les États-Unis et leur soutien, l'OTAN ne pourrait subsister. Nous ne souhaitons pas de garanties de sécurité sans la participation américaine, car c'est une nation forte et influente."
Concernant l'administration Trump, Zelensky aurait demandé un transfert de 300 milliards de dollars issus des avoirs russes gelés pour financer l'achat d'armement auprès des États-Unis.
Il a évoqué l'espoir de mettre fin à la guerre en 2025, tout en insistant sur la nécessité d'un cessez-le-feu conditionné à un renforcement des capacités militaires de l'Ukraine pour prévenir de futures attaques.
Quant à Poutine, Zelensky l'a décrit comme une figure "sourde" et isolée, affirmant qu'il incarne un dirigeant déconnecté de la réalité et qualifié de "mammouth" par son archaïsme.
Enfin, il a conclu en déclarant qu'il ne respectait ni le dirigeant actuel de la Russie ni son peuple, dans le contexte de l'agression en cours.