Le 23 décembre, le grand vraquier russe Ursa Major a franchi le détroit de Gibraltar.
Il devait se rendre à Vladivostok pour y livrer deux grues maritimes pour le terminal portuaire et des équipements pour la construction de brise-glaces à propulsion nucléaire. L'ensemble devant assurer le développement de la Route Maritime Nord et de ses infrastructures : c'est la nouvelle route maritime qui doit concurrencer le passage par Suez et Gibraltar, en passant par le pôle nord.
Au sud-est de l'Espagne, à la hauteur d'Almera et d'Oran, le vraquier a subi une soudaine explosion dans sa salle des machines, s'est enfoncé de l'avant et a coulé plus tard avec l'ensemble de son chargement et 2 de ses 18 marins. Cela suscitera un retard dans la mise en œuvre de la Route Maritime Nord. La piste du sabotage, ou d'une attaque de la part de rivaux géopolitiques et économiques, est à l'étude.
Les Occidentaux ne sont pas toujours stupides dans leurs analyses publiques et se demandent si le navire devait livrer en réalité les grues en Libye/LNA pour y développer l'infrastructure portuaire afin de servir de base de secours après la perte de la Syrie, ou précisément à Tartous pour améliorer la capacité des grues présentes compte-tenu de la situation exceptionnelle.
Operline, qui s'est spécialisé depuis des années dans les transports stratégiques maritimes et aériens, ajoute :
Le navire Ursa Major fait partie des navires « sanctionnés » par l'Occident, et comme tous les navires sanctionnés, il n'affiche jamais sa destination finale réelle sur le suivi international des navires, il indique Vladivostok mais s'arrête bien plus tôt. L'Ursa Major était habituellement utilisé ces derniers temps pour assurer des livraisons exclusivement à Tartous en Syrie, depuis la Baltique, où il rentrait après sa mission, alors que sa destination officiellement déclarée était toujours fausse. Néanmoins, Operline estime qu'il y a une petite chance que Vladivostok ait bien été cette fois la destination réelle.
Le navire était sous escorte militaire partielle : il y a presque toujours des interruptions, toujours aux mêmes endroits, dans l'escorte des navires russes. Des corvettes de la Flotte de la Baltique l'escortaient dans les détroits de la Baltique, puis entre les détroits franco-anglais jusque dans la partie nord du golfe de Gascogne, puis des navires basés à Tartous reprenaient l'escorte jusqu'en Syrie.
Cette fois encore, la corvette Soobrazitelny a escorté l'Ursa Major et le Sparta. Dans le détroit de Gibraltar, les navires ont été traditionnellement laissés sans escorte, cependant deux navires de débarquement de la Flotte du nord, l'Ivan Gren et l'Alexandr Otrakovsky, se trouvaient à proximité immédiate. Puis l'Ursa Major a subi une explosion et a coulé plus tard.
On annonce que le navire russe d'espionnage militaire Yantar, appartenant à la Flotte du nord, qui après avoir visité l'Algérie début décembre, effectuait depuis des « tâches » entre la France et l'Italie, a été immédiatement envoyé sur le site du naufrage pour analyser la coque du navire et tenter de déterminer la cause de l'explosion (d'abord si elle a été externe, ce qui règle la question, ou si elle a été interne, dans ce cas il sera nécessaire de visualiser l'intérieur pour tenter d'en savoir davantage).
Les conclusions ne seront probablement pas diffusées au public.
A suivre (j'ai peu d'espoir qu'on en sache plus).
Il devait se rendre à Vladivostok pour y livrer deux grues maritimes pour le terminal portuaire et des équipements pour la construction de brise-glaces à propulsion nucléaire. L'ensemble devant assurer le développement de la Route Maritime Nord et de ses infrastructures : c'est la nouvelle route maritime qui doit concurrencer le passage par Suez et Gibraltar, en passant par le pôle nord.
Au sud-est de l'Espagne, à la hauteur d'Almera et d'Oran, le vraquier a subi une soudaine explosion dans sa salle des machines, s'est enfoncé de l'avant et a coulé plus tard avec l'ensemble de son chargement et 2 de ses 18 marins. Cela suscitera un retard dans la mise en œuvre de la Route Maritime Nord. La piste du sabotage, ou d'une attaque de la part de rivaux géopolitiques et économiques, est à l'étude.
Les Occidentaux ne sont pas toujours stupides dans leurs analyses publiques et se demandent si le navire devait livrer en réalité les grues en Libye/LNA pour y développer l'infrastructure portuaire afin de servir de base de secours après la perte de la Syrie, ou précisément à Tartous pour améliorer la capacité des grues présentes compte-tenu de la situation exceptionnelle.
Operline, qui s'est spécialisé depuis des années dans les transports stratégiques maritimes et aériens, ajoute :
Le navire Ursa Major fait partie des navires « sanctionnés » par l'Occident, et comme tous les navires sanctionnés, il n'affiche jamais sa destination finale réelle sur le suivi international des navires, il indique Vladivostok mais s'arrête bien plus tôt. L'Ursa Major était habituellement utilisé ces derniers temps pour assurer des livraisons exclusivement à Tartous en Syrie, depuis la Baltique, où il rentrait après sa mission, alors que sa destination officiellement déclarée était toujours fausse. Néanmoins, Operline estime qu'il y a une petite chance que Vladivostok ait bien été cette fois la destination réelle.
Le navire était sous escorte militaire partielle : il y a presque toujours des interruptions, toujours aux mêmes endroits, dans l'escorte des navires russes. Des corvettes de la Flotte de la Baltique l'escortaient dans les détroits de la Baltique, puis entre les détroits franco-anglais jusque dans la partie nord du golfe de Gascogne, puis des navires basés à Tartous reprenaient l'escorte jusqu'en Syrie.
Cette fois encore, la corvette Soobrazitelny a escorté l'Ursa Major et le Sparta. Dans le détroit de Gibraltar, les navires ont été traditionnellement laissés sans escorte, cependant deux navires de débarquement de la Flotte du nord, l'Ivan Gren et l'Alexandr Otrakovsky, se trouvaient à proximité immédiate. Puis l'Ursa Major a subi une explosion et a coulé plus tard.
On annonce que le navire russe d'espionnage militaire Yantar, appartenant à la Flotte du nord, qui après avoir visité l'Algérie début décembre, effectuait depuis des « tâches » entre la France et l'Italie, a été immédiatement envoyé sur le site du naufrage pour analyser la coque du navire et tenter de déterminer la cause de l'explosion (d'abord si elle a été externe, ce qui règle la question, ou si elle a été interne, dans ce cas il sera nécessaire de visualiser l'intérieur pour tenter d'en savoir davantage).
Les conclusions ne seront probablement pas diffusées au public.
A suivre (j'ai peu d'espoir qu'on en sache plus).