« Chaque peuple est en lui-même responsable de la réussite de son existence, et l'apport d'un sang totalement étranger représentera toujours un risque pour une nation qui a prouvé sa valeur historique. C'est pourquoi on ne peut refuser à aucun peuple le droit de maintenir impollue son origine raciale, et de prendre des garanties dans ce but. La religion chrétienne demande simplement que les moyens utilisés ne pèchent pas contre la loi morale et la justice naturelle. »
- Mgr. Conrad Gröber, dans l'article « Race » paru dans le manuel d'instruction religieuse « Handbuch der Religösen Gegenwartsfragen » (1937)
« Elle [NdA : l'Église] admet l'homme tel qu'il est avec sa race, son peuple, sa nation, son État, dans la région où la volonté créatrice de Dieu le fait grandir, approuve donc toutes ces forces créatrices issues du sang et du sol. Mais nous ne pouvons et ne voulons pas oublier une chose. L'homme d'aujourd'hui, avant tout l'homme délivré, ne vit plus dans la « pure nature ». La rédemption et la supra-nature sont une réalité et par cette réalité, la nature est entrée dans un nouvel ordre. La conséquence du péché originel veut que les hommes exagèrent et défendent les valeurs naturelles. Que ce soit l'humanité, la liberté, le droit ou la race ; l'Église contiendra toujours ces escalades à la place qu'elles occupent dans l'ordre de valeur divin et absolu. Elles ne sont donc aucunement réprouvées ; elles reçoivent seulement une place exacte dans tout ce qui a une valeur. »
- Les Missions Catholiques, In. cahier n°3 de mars 1938
« La rencontre de la Révélation et de la race appartient précisément au chapitre le plus attrayant de l'histoire de l'Église. La race était l'instrument, la Révélation était la mélodie, le Christ l'artiste. Et ainsi, l'Église enflammée par la Révélation, eut de tous temps. le flair le plus fin pour percevoir toutes les valeurs biologiques réelles. »
- Manifeste de la « feuille cléricale bavaroise » du 23 janvier 1935
« Dieu a lui-même créé les peuples différemment selon le sang, le caractère et le type, et veut donc les distinctions du sang, de Volk et des races. Il désire aussi que ce qu’il a créé soit gardé et préservé pur. Nous devons donc nous détourner de tout ce qui nuit à la pureté raciale. Pour cette raison, le point de vue racial du national-socialisme correspond complètement au christianisme. »
- Père Lorenz Pieper à un rassemblement NS le 24 août 1923 à la tribune
« Ma conviction est que la défense du christianisme se confond avec la défense du germanisme… Race et christianisme ne constituent pas des oppositions, mais des ordres différents. La race est d’ordre naturel, le christianisme est révélation et par conséquent d’ordre surnaturel… Du point de vue de l’Église, il n’y a aucune objection à faire aux recherches raciales conduites objectivement non plus qu’à la culture de la race. Il n’y a aucune objection à faire au désir et au souci de maintenir les particularités ethniques d’une nation aussi pures que possible de toute altération et d’approfondir le sens de la communauté du sang. »
- Cardinal Faulhaber, dans son sermon « Christianisme et Germanisme » prononcé en l’église Saint-Michel de Munich le 31 décembre 1933
- Mgr. Conrad Gröber, dans l'article « Race » paru dans le manuel d'instruction religieuse « Handbuch der Religösen Gegenwartsfragen » (1937)
« Elle [NdA : l'Église] admet l'homme tel qu'il est avec sa race, son peuple, sa nation, son État, dans la région où la volonté créatrice de Dieu le fait grandir, approuve donc toutes ces forces créatrices issues du sang et du sol. Mais nous ne pouvons et ne voulons pas oublier une chose. L'homme d'aujourd'hui, avant tout l'homme délivré, ne vit plus dans la « pure nature ». La rédemption et la supra-nature sont une réalité et par cette réalité, la nature est entrée dans un nouvel ordre. La conséquence du péché originel veut que les hommes exagèrent et défendent les valeurs naturelles. Que ce soit l'humanité, la liberté, le droit ou la race ; l'Église contiendra toujours ces escalades à la place qu'elles occupent dans l'ordre de valeur divin et absolu. Elles ne sont donc aucunement réprouvées ; elles reçoivent seulement une place exacte dans tout ce qui a une valeur. »
- Les Missions Catholiques, In. cahier n°3 de mars 1938
« La rencontre de la Révélation et de la race appartient précisément au chapitre le plus attrayant de l'histoire de l'Église. La race était l'instrument, la Révélation était la mélodie, le Christ l'artiste. Et ainsi, l'Église enflammée par la Révélation, eut de tous temps. le flair le plus fin pour percevoir toutes les valeurs biologiques réelles. »
- Manifeste de la « feuille cléricale bavaroise » du 23 janvier 1935
« Dieu a lui-même créé les peuples différemment selon le sang, le caractère et le type, et veut donc les distinctions du sang, de Volk et des races. Il désire aussi que ce qu’il a créé soit gardé et préservé pur. Nous devons donc nous détourner de tout ce qui nuit à la pureté raciale. Pour cette raison, le point de vue racial du national-socialisme correspond complètement au christianisme. »
- Père Lorenz Pieper à un rassemblement NS le 24 août 1923 à la tribune
« Ma conviction est que la défense du christianisme se confond avec la défense du germanisme… Race et christianisme ne constituent pas des oppositions, mais des ordres différents. La race est d’ordre naturel, le christianisme est révélation et par conséquent d’ordre surnaturel… Du point de vue de l’Église, il n’y a aucune objection à faire aux recherches raciales conduites objectivement non plus qu’à la culture de la race. Il n’y a aucune objection à faire au désir et au souci de maintenir les particularités ethniques d’une nation aussi pures que possible de toute altération et d’approfondir le sens de la communauté du sang. »
- Cardinal Faulhaber, dans son sermon « Christianisme et Germanisme » prononcé en l’église Saint-Michel de Munich le 31 décembre 1933