Clerical Fascism


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« Étant donnée la situation parlementaire actuelle, au moins dans le Reich, un gouvernement de droite n’est possible qu’en y comprenant les nationaux-socialistes […]. Naturellement, il y a des inconvénients à une coalition avec les nationaux-socialistes. Mais ils ne sont rien en comparaison des dangers inouïs que nous ferait courir une alliance avec les sociaux-démocrates. La social-démocratie est un parti athée qui, aujourd’hui, favorise de nouveau la propagande libre-penseuse, ennemie de l’Église. Le parti national-socialiste au contraire se compose surtout d’Allemands croyant en Dieu. C’est là une différence importante. Certes, il y a beaucoup à blâmer chez les nationaux-socialistes, mais il y aura beaucoup de changements chez eux s’ils ont la responsabilité du gouvernement […]. Avec la plus grande énergie, nous protestons lorsque la presse du Centre ne cesse pas de critiquer et d’attaquer les nationaux-socialistes tout en ne donnant pas l’attention nécessaire aux grands dangers dont la gauche nous menace. »
- Manifeste de la Grossdeutsche Reichspartei (cité par la Documentation Catholique, t. XXV, 1931, col. 722)

« Adolf Hitler savait mieux que les Diadoques de son mouvement que l'histoire allemande ne commença pas en 1870 ou en 1517, que pour le rétablissement du Volk allemand les sources d'énergie de la culture chrétienne sont indispensables, que ce travail de rétablissement ne peut pas être accompli avec le culte de Wotan et la haine de Rome. En tant qu'homme du Volk, il connaissait mieux l'âme du Volk sud-allemand que les autres et savait qu'avec un mouvement dont le revers est la lutte contre Rome, l'âme du Volk ne sera pas conquise. Il y a une tragédie bouleversante dans le fait que le printemps originairement pur est devenu empoisonné par des influences ultérieures et par Kulturkampf. »
- Mgr Faulhaber, extrait de son discours du 15 février 1924

« Je félicite le Führer du grand mouvement populaire allemand, l'homme qui a un sentiment de sa responsabilité devant Dieu, qui veut sincèrement le bien du peuple allemand selon la volonté créatrice de Dieu. (…) Un deuxième fait caractérise l'esprit de cette œuvre concordataire. Cet esprit s'appuie sur une volonté explicite de paix et d'amitié. Cette œuvre n'est pas un compromis, mais un concordat. Ce n'est pas un compromis où deux adversaires inconciliables s'entendent par traité sur une délimitation provisoire, mais une œuvre de concorde pour collaborer amicalement au bien de notre peuple allemand. »
- Père Marianus Vetter, extrait du sermon radiodiffusé à l'occasion de la signature du concordat du 20 juillet 1933 entre le Reich et le Saint-Siège

« Nous reconnaissons joyeusement que le mouvement National Socialiste a produit d'énormes bienfaits, et qu'il continu encore de faire de même au niveau de la reconstruction nationale et économique, tout comme dans la politique sociale pour la nation et le Reich Allemand, particulièrement pour les classes les plus pauvres du peuple. Nous sommes également convaincus que par le travail du mouvement National Socialiste, le danger du Bolchevisme sans-Dieu, détruisant tout, a été évité. Les évêques accompagnent ce travail pour l'avenir avec leurs meilleurs vœux de bénédiction, et chercheront à amener les fidèles dans ce sens. Les jours du plébiscite, il va de soi pour nous, évêques, de nous déclarer Allemands au Reich allemand, et nous attendons aussi de tous les chrétiens pieux qu'ils sachent ce qu'ils doivent à leur peuple. »
- Mgr Th. Cardinal Innitzer, Mgr A. Hefter, Mgr S. Waitz, Mgr Pawlikowski, Mgr J. Maria Gföllner, Mgr Michael Nemelauer, déclaration de l'épiscopat allemand, Vienne, 18 mars 1938




«Au très honorable et illustre Adolf Hitler, Suprême Führer et chancelier du Reich allemand, Le très honorable et illustre pape Pie XI offre ses salutations et ses bons voeux. Pour la transmission informelle de la lettre officielle dans laquelle tu [NdA: du] nous as récemment mis en garde que, suite à la disparition de l'exceptionnel et inoubliable Herr Paul von Beneckendorff und Hindenburg, par la loi du 1er août de l'année dernière, l'office de président du Reich a été fusionné avec celui de chancelier du Reich et qu'ainsi tu es devenu le Führer suprême du Reich allemand, nous t'exprimons nos remerciements reconnaissants. Avec joie Nous avons pris note de la phrase dans ta lettre: ''Il est très proche de ton coeur, que des liens qui unissent l'Allemagne avec le Siège Apostolique puissent non seulement être maintenus, mais être sans cesse améliorés.'' Depuis ce temps, en fait, une véritable paix entre l'autorité ecclésiastique et celle du monde contribue de manière optimale au bien être du peuple. Nous tâcherons d'agir plus ardemment pour que, après avoir surmonté les difficultés encore existantes, pour autant qu'il est en notre pouvoir, ton désir pour le bien commun soit couronné de succès propice. Pour cela Nous implorons Dieu Tout Puissant, afin qu'Il puisse te donner, l'homme le plus honorable et le plus illustre, et à tous le peuple allemand, Son aide efficace. Donné à Rome, à Saint-Pierre, le 15 janvier de l'année MCMXXXV, dans la treizième année de Notre Pontificat. Pape Pie IX. »
- Lettre du pape Pie IX à Hitler, traduite de l'original allemand (D. Albrecht, échange de notes, vol. 3, p.73)


« Adolf Hitler, fils de l'Eglise catholique, est mort en défendant la chrétienté. Il est donc compréhensible que les mots ne peuvent être trouvés pour se lamenter de sa mort, quand tellement furent trouvés pour exalter sa vie. Sur ses restes mortels se dresse sa silhouette victorieuse. Avec la palme du martyr, Dieu donne a Hitler les lauriers de la victoire. »
- Francisco Franco y Bahamonde, allocution à la presse espagnole du 3 mai 1945 à la nouvelle de la mort du Führer

« 1. Ceux qui ont charge d’âmes et les fidèles, se rangeront sans condition derrière le grand État allemand et le Führer, car la lutte historique contre la criminelle illusion du bolchevisme et pour la sécurité de la vie allemande, pour le travail et le pain, pour la puissance et l’honneur du Reich et pour l’unité de la nation allemande est visiblement accompagnée de la bénédiction de la Providence. 2. La mission exclusive des prêtres est la charge d'âmes; ils doivent se tenir éloignés de la politique et attendre avec confiance le développement des évènements. 3. La foi en l'union intime des âmes donne aux chrétiens la conviction que la communauté naturelle de la nation est appelée à réaliser une idée divine, et il s'ensuit qu'une vie véritablement religieuse présuppose la pratique des vertus naturelles. 4. J'insiste auprès des chefs des organisations de jeunesse pour qu'ils préparent l'adhésion aux organisations de jeunesse du Reich allemand. »
- Mgr Théodore Innitzer, extrait de son allocution du 15 mars 1938 au clergé catholique et aux fidèles catholiques de l'archidiocèse de Vienne et du Burgenland (Doc. Cath., l.c., col. 451-452)

« Que le chef du IIIe Reich fût exempté personnellement de la critique semble corroboré par une note privée, non seulement inédite mais encore intime, non destinée à la publication, que l'on a trouvée dans les papiers personnels du cardinal Faulhaber, celui-là même que l'on dit avoir été – et qui fut sans doute effectivement – l'un des instigateurs de Mit Brennender Sorge. Il s'agit du compte rendu d'un entretien du cardinal avec Hitler le 4 janvier 1936 (durée de l'entretien : de 11 à 14 heures) terminé par un dîner d'une demi-heure dans la véranda de la salle à manger à l'Obersalzberg (résidence du Führer, dans les Alpes bavaroises). Or, que consignait Mgr Faulhaber ? Tout simplement ceci :
"...Dans la première heure, le Führer fut le seul à parler, franchement, familièrement, avec chaleur, voire avec passion parfois. Pendant la deuxième heure, j'eus l' occasion, sans être pour ainsi dire interrompu, de répondre aux vues du Führer et de présenter mon propre point de vue. Au cours de la troisième heure, le tête-à-tête se fit de plus en plus détendu... Le Führer : Les hommes ne peuvent rien faire sans croire en Dieu. Le soldat, après trois ou quatre jours sous la mitraille, doit se raccrocher à la religion. L'absence de Dieu, c'est le néant. Je répondis : Les splendides professions de foi faites par le Führer en diverses occasions, et précisément celle de son discours de clôture lors de la journée du Parti, à Nuremberg, et au Bückeberg, n'ont certainement pas manqué de faire impression dans le monde... C'est en vain que l'on en chercherait de pareilles de la bouche d'un Léon Blum, par exemple, dans sa lamentable réponse au discours de Nuremberg; mais on n'en trouverait pas davantage chez les autres hommes d’État..." (Archives épiscopales de Munich, fonds Faulhaber n° 8203 et Ludwig Volk : Akten Michael Faulhabers, tome II, p. 184 et suivantes). »
- Pierre Maximin – Une encyclique singulière sous le troisième Reich




BORIS LE LAY MET EN ASSISTANCE RESPIRATOIRE L'ODIEUX SODOMITE PAGANO-GAUCHISTE ALAIN DE BENOIST

Aryan France:

Pédomane, crypto-marxiste, paganiste forcené, philosémite de compétition, anti-fascis†e compulsif ; on peut répliquer d'emblée que l'intellectuel auto-proclamé A. de Benoist cumule toutes les tares de la déliquescence post-soixante-huitarde occidentale, à l'image d'un Soral ou encore d'un Camus.

Au travers de « nos milieux » cette triste fin de race dispose également d'une piteuse réputation selon laquelle il se veut le pape de ladite nouvelle droite, secte luciférienne fondée par le Réseau Gladio, après-guerre, en vue de noyauter la mouvance nationale pour le compte de la droite libérale. Le subterfuge auquel procède les sous-hommes qui se tiennent à la tête de ce courant intrinsèquement (((subversif))) est simple : importer des idéaux révolutionnaires (jacobins, j'entends), afin d'opérer une rupture radicale avec la Tradition Catholique, en feignant de bouffer du juif en parole, tout en se regardant dans la glace.

Leur démarche vise généralement à compenser un manque de virilité en se convertissant au romantisme folklorique, pour ainsi prétendre aspirer à « un retour aux racines » contre « el famoso religion du désert », dépeinte alors, comme un sous-produit de l'hébraïsme. En d'autres termes, leur but passe préalablement par la déchristianisation de l'esprit européen via un « antisémitisme » de carte postale, pittoresque, caricatural, fantasmagorique, pour davantage l'enjuiver par le paganisme. D'aucuns ont d'ailleurs tendance à amalgamer à tord le GRECE avec le NS – dont il est aux antipodes en tout point – mais il n'en est rien.

A contrario, il tire bien plus son héritage idéologique de la Société Thulé (laquelle fut dissoute par un certain Chancelier dès son ascension soit dit en passant), et ses membres incarnent tout au plus la tendance « nationale-bolchevique ». La vérité est qu'en se refusant au christianisme, ces gens-là se refusent à eux-mêmes en tant même que païens, au profit d’un gnosticisme qui, d’une part, n’exprime que la décadence du paganisme abâtardi par la spéculation orientale, d’autre part se trouve être la matrice du judaïsme moderne. Si le juif est l’ennemi de la civilisation et du genre humain, le destructeur de la grandeur de l’Occident, le chambardeur par excellence, l’instrument le plus consentant de toutes les formes de subversion, c’est d’abord parce que, ennemi d’un génie européen dont le propre était de se reconnaître dans la religion du Verbe, il n’est tel qu’au titre où par-là il consomme sa haine de lui-même. Et les néo-païens ne font pas autre chose que leurs frères juifs dans la mécréance. Le paganisme nietzschéen, c’est le judaïsme décomplexé adapté aux Aryens, c’est la forme que prend l’esprit juif chez les Gentils.

https://youtu.be/7x-2ScGFxxQ


Oleg de Normandie, sévit sur différentes plateformes alternatives avec un lot d’interventions aussi nulles que lassantes : c’est du sempiternel complotisme à deux balles, quand on ne l’entend pas en compagnie de Papacito en train de faire de l’antinazisme de pacotille, pour ne pas dire judéo-gauchiste.

https://integralisme-organique.com/2020/10/mm-dortiguier-et-oleg-ou-le-complotisme-laisse-en-roue-libre-billet/


« Historiquement, c’est bien ce qu’il y a de plus significatif dans la grande profession de foi de l’Autrichien catholique Adolf Hitler. Son programme culturel conservateur manifeste une considération toute particulière pour l’Église, tourne le dos aux rêveries fanatiques des “nouveaux païens”, des “Germains”, des sectes racistes, toujours anti-romaines, préoccupées d’astrologie et d’occultisme, repousse les théories des petites églises politico-religieuses, des cercles, communautés religieuses, associations et groupes divers dont Munich regorge aux environs des années 20 »
- Joachim von Ribbentrop, La Documentation Catholique, p.133


« Il est totalement hors de question que toutes ces histoires nous informent qu'Hitler entretenait au Kehlstein [NdA : le nid d'aigle] un observatoire ou quelque chose de similaire qui avait trait à l'astrologie ou à l'astronomie. Au contraire : Hitler était précisément un ennemi fanatique de toute astrologie, spiritisme, chiromancie, divination, télépathie, etc. Il a certainement donné un jour à Mussolini un observatoire astronomique, et dans le jardin du Berghof, il y avait un télescope avec lequel on pouvait englober la chaîne de montagnes de Salzbourg, observer le paysage en détail, et parfois, par nuit claire, observer les étoiles. Ce dispositif servait principalement à distraire les visiteurs. C'était le seul point de contact entre le Berghof et le monde des étoiles. Dès 1933, Hitler a personnellement ordonné l'interdiction de tous les journaux et magazines consacrés à l'horoscope, à la divination et au spiritisme. Bon nombre de personnes actives dans ces branches ont été autorisées à être emmenées dans des camps de concentration pendant sa période de gouvernement. "C'est une chose pour les femmes âgées et hystériques [a-t-il déclaré], dans la vie politique, de telles choses n'ont rien à espérer. Tous sans exception sont des absurdités. Ils sont une folie du peuple. Je l'interdis". Dans l'entourage d'Hitler, on ne discutait jamais de telles choses, car sa position était connue et personne n'osait en parler. »

- Julius Schaub, In Hitlers Schatten : Erinnerungen und Aufzeichnungen des persönlichen Adjutanten und Vertrauten (1925-1945, Druffel & Vowinckel-Verlag, Stegen/Ammersee, 2005, p.243)




« Widukind était le seul vrai Allemand, un Allemand rebelle dans le meilleur sens du terme. Je n'ai pas plus de sympathie pour qui que ce soit que pour l'homme qui s'est levé quand on a voulu lui imposer de force une religion à sa manière, dans ses sentiments les plus intimes. Mais Je ne crois pas qu'il soit juste de dire : « Widukind est resté un païen après tout ! ». [...]
Vous savez que Widukind s'est fait baptiser et est devenu chrétien. Maintenant, nos opposants factuels [les païens] disent... :
"Pour des raisons pratiques, Widukind est allé au baptême après tout..."
Je n'y crois pas! Widukind est beaucoup trop grand pour moi, car il aurait représenté une telle demi conviction. Widukind appartient au peuple de notre histoire qui ne plie que lorsqu'une grande et sainte conviction s'empare d'eux... Grand est un tel homme qui parvient finalement à se dépasser et à laisser triompher en lui la grande histoire, le grand tout commun en lui . »


𝐒𝐢𝐞𝐠𝐟𝐫𝐢𝐞𝐝 𝐋𝐞𝐟𝐟𝐥𝐞𝐫
Un théologien et principal représentant des chrétiens allemands dans un discours à Weimar le 21 mars 1934.

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Il y a exactement 1234 ans, le 7 janvier, Widukind, le roi des Saxons, était baptisé.
Ce qui est très intéressant ici, c'est ce que les païens faisaient il y a 80 ans et ce que les païens font aujourd'hui. Sous le Troisième Reich, les nationaux-socialistes n'ont jamais prétendu qu'Hitler était un païen - tout le monde savait qu'il était chrétien, et ils étaient autorisés à le dire publiquement - tout le reste serait un mensonge. Mais comme les païens mentent encore après la mort du grand roi saxon que Widikund était un païen, bien qu'il soit historiquement connu que Widukind est devenu chrétien et a christianisé son propre peuple, ils mentent aujourd'hui qu'Adolf Hitler était un païen.

Et ils utilisent les mêmes arguments, qui ne peuvent être surpassés en stupidité, que lorsqu'il s'agit de Widukind. Quand on demande :
« Pourquoi alors Hitler était-il dans l'Église catholique jusqu'à sa mort ? »
Est-ce que leur réponse est :
"Pour des raisons tactiques !"
On demande alors :
« Et pourquoi était-il toujours positif envers le christianisme et disait-il souvent dans des discours qu'il voulait protéger le christianisme ? »
Les voilà repartis en criant,
« Il a menti pour des raisons tactiques !

En tant que national-socialiste, on ne peut vraiment que secouer la tête ! Celui qui parle du Führer d'une manière aussi dégoûtante et effrontée ne peut pas être un national-socialiste ! Mais nous, en tant que nationaux-socialistes, devons défendre la vérité comme Siegfried Leffler.
"Je ne le crois pas ! Adolf Hitler est beaucoup trop grand pour moi, car il aurait représenté une telle demi conviction."

/ Il est également très intéressant de voir comment les païens parlent de la "vénération de leurs ancêtres", mais ne peuvent aimer Widukind que s'il était païen. Je vénère et respecte Widukind quelle que soit sa religion ! C'était un bon chef et un grand guerrier de mon sang et c'est pourquoi je le respecte (comme Leffler). Et le fait qu'il ait reconnu que Christ est le Fils de Dieu et qu'il ait ensuite mis fin à une guerre qui a duré des années le rend encore plus grand !
https://t.me/Christianityandfascism




Durant l’Antiquité, les druides forment un Clergé païen. Grâce à des textes médiévaux français, on sait que les druides annoncent déjà la venue d’une femme vierge qui doit mettre au monde un dieu.

Diviciac est le seul druide gaulois bien connu de l’Antiquité. Il participe activement à la guerre des Gaules. Grâce à lui, Autun devient la capitale universitaire de l’Occident.

D’autres figures gauloises s’imposent : les druides Sacrovir et Maric, le général Vindex et la belle Eponine… Et Postume le trop méconnu Empereur des Gaules.

Avec les siècles, la prophétie druidique s’accomplit et l'Empire devient chrétien.
https://youtu.be/zJ1M3vTt384


« J'étudie le christianisme dans le contexte du national-socialisme depuis des années. Il y a quelques mois, j'ai commencé à traduire des choses en anglais et à partager mon travail ici sur Telegram, qui a atteint des milliers de personnes jusqu'à présent.

Je le fais parce que je considère qu'il est de mon devoir en tant qu'Allemand, en tant que national-socialiste et en tant que chrétien de dire au monde la vérité sur le national-socialisme. Je le fais par amour profond pour mon peuple allemand, car aucun autre peuple, aucune autre vision du monde et aucun leader dans le monde n'ont été calomnié autant que nous, les Allemands.

Je fais cela parce que mes ancêtres étaient tous dans les SS et étaient tous de grands chrétiens. Le sang des SS coule dans mes veines et leur esprit vit dans ma foi. Par conséquent, je considère comme une tâche divine et nécessaire de réfuter les mensonges sur le national-socialisme.
J'ai une foi profonde en Christ, mon roi, et en Adolf Hitler, mon Führer.
Mon dernier message pour cette année :

Gardez ce mouvement chrétien! »

Tomislav
Fondateur de "Christianity and fascism" le 27 décembre 2021
https://t.me/Christianityandfascism




« Si le catholicisme était ennemi de la patrie, il ne serait pas une religion divine. »
Saint Pie X






RACISME ET CATHOLICISME

Lorsqu’un catholique aborde le sujet du racisme, ses adversaires brandissent souvent l’argument fallacieux selon lequel l’Église aurait condamné le racisme. Il est très important de comprendre que l’Église ne condamne pas le souci de préservation de l’intégrité raciale d’un peuple mais une certaine forme de racisme qui s’apparente à un réductionnisme biologique.
Un document capital, mais bien oublié, permet de saisir plus précisément cette nuance :
Il s’agit de la lettre du 13 avril 1938 émanant de la Sacrée Congrégation des Séminaires et des Universités (dont le pape en personne était le préfet) et adressée à toutes les universités catholiques du monde. Cette lettre exprime six conceptions excessives du fait racial à rejeter :

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« Chaque peuple est en lui-même responsable de la réussite de son existence, et l'apport d'un sang totalement étranger représentera toujours un risque pour une nation qui a prouvé sa valeur historique. C'est pourquoi on ne peut refuser à aucun peuple le droit de maintenir impollue son origine raciale, et de prendre des garanties dans ce but. La religion chrétienne demande simplement que les moyens utilisés ne pèchent pas contre la loi morale et la justice naturelle. »
- Mgr. Conrad Gröber, dans l'article « Race » paru dans le manuel d'instruction religieuse « Handbuch der Religösen Gegenwartsfragen » (1937)

« Elle [NdA : l'Église] admet l'homme tel qu'il est avec sa race, son peuple, sa nation, son État, dans la région où la volonté créatrice de Dieu le fait grandir, approuve donc toutes ces forces créatrices issues du sang et du sol. Mais nous ne pouvons et ne voulons pas oublier une chose. L'homme d'aujourd'hui, avant tout l'homme délivré, ne vit plus dans la « pure nature ». La rédemption et la supra-nature sont une réalité et par cette réalité, la nature est entrée dans un nouvel ordre. La conséquence du péché originel veut que les hommes exagèrent et défendent les valeurs naturelles. Que ce soit l'humanité, la liberté, le droit ou la race ; l'Église contiendra toujours ces escalades à la place qu'elles occupent dans l'ordre de valeur divin et absolu. Elles ne sont donc aucunement réprouvées ; elles reçoivent seulement une place exacte dans tout ce qui a une valeur. »
- Les Missions Catholiques, In. cahier n°3 de mars 1938

« La rencontre de la Révélation et de la race appartient précisément au chapitre le plus attrayant de l'histoire de l'Église. La race était l'instrument, la Révélation était la mélodie, le Christ l'artiste. Et ainsi, l'Église enflammée par la Révélation, eut de tous temps. le flair le plus fin pour percevoir toutes les valeurs biologiques réelles. »
- Manifeste de la « feuille cléricale bavaroise » du 23 janvier 1935

« Dieu a lui-même créé les peuples différemment selon le sang, le caractère et le type, et veut donc les distinctions du sang, de Volk et des races. Il désire aussi que ce qu’il a créé soit gardé et préservé pur. Nous devons donc nous détourner de tout ce qui nuit à la pureté raciale. Pour cette raison, le point de vue racial du national-socialisme correspond complètement au christianisme. »
- Père Lorenz Pieper à un rassemblement NS le 24 août 1923 à la tribune

« Ma conviction est que la défense du christianisme se confond avec la défense du germanisme… Race et christianisme ne constituent pas des oppositions, mais des ordres différents. La race est d’ordre naturel, le christianisme est révélation et par conséquent d’ordre surnaturel… Du point de vue de l’Église, il n’y a aucune objection à faire aux recherches raciales conduites objectivement non plus qu’à la culture de la race. Il n’y a aucune objection à faire au désir et au souci de maintenir les particularités ethniques d’une nation aussi pures que possible de toute altération et d’approfondir le sens de la communauté du sang. »
- Cardinal Faulhaber, dans son sermon « Christianisme et Germanisme » prononcé en l’église Saint-Michel de Munich le 31 décembre 1933

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