« Adolf Hitler, fils de l'Eglise catholique, est mort en défendant la chrétienté. Il est donc compréhensible que les mots ne peuvent être trouvés pour se lamenter de sa mort, quand tellement furent trouvés pour exalter sa vie. Sur ses restes mortels se dresse sa silhouette victorieuse. Avec la palme du martyr, Dieu donne a Hitler les lauriers de la victoire. »
- Francisco Franco y Bahamonde, allocution à la presse espagnole du 3 mai 1945 à la nouvelle de la mort du Führer
« 1. Ceux qui ont charge d’âmes et les fidèles, se rangeront sans condition derrière le grand État allemand et le Führer, car la lutte historique contre la criminelle illusion du bolchevisme et pour la sécurité de la vie allemande, pour le travail et le pain, pour la puissance et l’honneur du Reich et pour l’unité de la nation allemande est visiblement accompagnée de la bénédiction de la Providence. 2. La mission exclusive des prêtres est la charge d'âmes; ils doivent se tenir éloignés de la politique et attendre avec confiance le développement des évènements. 3. La foi en l'union intime des âmes donne aux chrétiens la conviction que la communauté naturelle de la nation est appelée à réaliser une idée divine, et il s'ensuit qu'une vie véritablement religieuse présuppose la pratique des vertus naturelles. 4. J'insiste auprès des chefs des organisations de jeunesse pour qu'ils préparent l'adhésion aux organisations de jeunesse du Reich allemand. »
- Mgr Théodore Innitzer, extrait de son allocution du 15 mars 1938 au clergé catholique et aux fidèles catholiques de l'archidiocèse de Vienne et du Burgenland (Doc. Cath., l.c., col. 451-452)
« Que le chef du IIIe Reich fût exempté personnellement de la critique semble corroboré par une note privée, non seulement inédite mais encore intime, non destinée à la publication, que l'on a trouvée dans les papiers personnels du cardinal Faulhaber, celui-là même que l'on dit avoir été – et qui fut sans doute effectivement – l'un des instigateurs de Mit Brennender Sorge. Il s'agit du compte rendu d'un entretien du cardinal avec Hitler le 4 janvier 1936 (durée de l'entretien : de 11 à 14 heures) terminé par un dîner d'une demi-heure dans la véranda de la salle à manger à l'Obersalzberg (résidence du Führer, dans les Alpes bavaroises). Or, que consignait Mgr Faulhaber ? Tout simplement ceci :
"...Dans la première heure, le Führer fut le seul à parler, franchement, familièrement, avec chaleur, voire avec passion parfois. Pendant la deuxième heure, j'eus l' occasion, sans être pour ainsi dire interrompu, de répondre aux vues du Führer et de présenter mon propre point de vue. Au cours de la troisième heure, le tête-à-tête se fit de plus en plus détendu... Le Führer : Les hommes ne peuvent rien faire sans croire en Dieu. Le soldat, après trois ou quatre jours sous la mitraille, doit se raccrocher à la religion. L'absence de Dieu, c'est le néant. Je répondis : Les splendides professions de foi faites par le Führer en diverses occasions, et précisément celle de son discours de clôture lors de la journée du Parti, à Nuremberg, et au Bückeberg, n'ont certainement pas manqué de faire impression dans le monde... C'est en vain que l'on en chercherait de pareilles de la bouche d'un Léon Blum, par exemple, dans sa lamentable réponse au discours de Nuremberg; mais on n'en trouverait pas davantage chez les autres hommes d’État..." (Archives épiscopales de Munich, fonds Faulhaber n° 8203 et Ludwig Volk : Akten Michael Faulhabers, tome II, p. 184 et suivantes). »
- Pierre Maximin – Une encyclique singulière sous le troisième Reich
- Francisco Franco y Bahamonde, allocution à la presse espagnole du 3 mai 1945 à la nouvelle de la mort du Führer
« 1. Ceux qui ont charge d’âmes et les fidèles, se rangeront sans condition derrière le grand État allemand et le Führer, car la lutte historique contre la criminelle illusion du bolchevisme et pour la sécurité de la vie allemande, pour le travail et le pain, pour la puissance et l’honneur du Reich et pour l’unité de la nation allemande est visiblement accompagnée de la bénédiction de la Providence. 2. La mission exclusive des prêtres est la charge d'âmes; ils doivent se tenir éloignés de la politique et attendre avec confiance le développement des évènements. 3. La foi en l'union intime des âmes donne aux chrétiens la conviction que la communauté naturelle de la nation est appelée à réaliser une idée divine, et il s'ensuit qu'une vie véritablement religieuse présuppose la pratique des vertus naturelles. 4. J'insiste auprès des chefs des organisations de jeunesse pour qu'ils préparent l'adhésion aux organisations de jeunesse du Reich allemand. »
- Mgr Théodore Innitzer, extrait de son allocution du 15 mars 1938 au clergé catholique et aux fidèles catholiques de l'archidiocèse de Vienne et du Burgenland (Doc. Cath., l.c., col. 451-452)
« Que le chef du IIIe Reich fût exempté personnellement de la critique semble corroboré par une note privée, non seulement inédite mais encore intime, non destinée à la publication, que l'on a trouvée dans les papiers personnels du cardinal Faulhaber, celui-là même que l'on dit avoir été – et qui fut sans doute effectivement – l'un des instigateurs de Mit Brennender Sorge. Il s'agit du compte rendu d'un entretien du cardinal avec Hitler le 4 janvier 1936 (durée de l'entretien : de 11 à 14 heures) terminé par un dîner d'une demi-heure dans la véranda de la salle à manger à l'Obersalzberg (résidence du Führer, dans les Alpes bavaroises). Or, que consignait Mgr Faulhaber ? Tout simplement ceci :
"...Dans la première heure, le Führer fut le seul à parler, franchement, familièrement, avec chaleur, voire avec passion parfois. Pendant la deuxième heure, j'eus l' occasion, sans être pour ainsi dire interrompu, de répondre aux vues du Führer et de présenter mon propre point de vue. Au cours de la troisième heure, le tête-à-tête se fit de plus en plus détendu... Le Führer : Les hommes ne peuvent rien faire sans croire en Dieu. Le soldat, après trois ou quatre jours sous la mitraille, doit se raccrocher à la religion. L'absence de Dieu, c'est le néant. Je répondis : Les splendides professions de foi faites par le Führer en diverses occasions, et précisément celle de son discours de clôture lors de la journée du Parti, à Nuremberg, et au Bückeberg, n'ont certainement pas manqué de faire impression dans le monde... C'est en vain que l'on en chercherait de pareilles de la bouche d'un Léon Blum, par exemple, dans sa lamentable réponse au discours de Nuremberg; mais on n'en trouverait pas davantage chez les autres hommes d’État..." (Archives épiscopales de Munich, fonds Faulhaber n° 8203 et Ludwig Volk : Akten Michael Faulhabers, tome II, p. 184 et suivantes). »
- Pierre Maximin – Une encyclique singulière sous le troisième Reich