Forward from: قناة السنّة في منطقة القبائل
Le fait d’accompagner les moukhêlifîns parmi les prédicateurs qui ont des infractions méthodologiques à l’encontre de la daawa salafiyya. Voire, il se trouve qu’ils les recommandent et les louent, tel que les suiveurs chirifiyines (de Laid Chirifi) à Tizi-Ouzou, et des ramadaniyines (Ramadani de Médine) à Bejaia. Bien plus, au sein même de la maison d’édition Dar El Fadhila où se trouve Boualem, distributeur de la maison, fanatique de Ramadani ! Et également les hanifiyînes (d’Ibn Hanifiya le hizbi, mis en garde par les savants depuis plusieurs années) dans l’ouest algérien, et ainsi de suite.
La course à l’argent, par le fait d’avoir transformé la daawa salafiyya en une entreprise de charité, dans laquelle ceux qui y exercent en profitent. D’ailleurs, l’appel du halabi Taybi (que « les auteurs de la revue » défendent) dans sa présentation de la dawra « séminaire » suspecte de Laghouat où étaient présent même les soufis, et diffusée en vidéo n’en est qu’une parmi autant de preuves. Dans la présentation, on peut voir et écouter ce Taybi dire : « Et nous invitons les hommes d’argent à mettre leurs mains dans nos mains »!! S’ajoute à cela, l’audio scandaleux dans lequel A. Madi dit qu’il représente le syndicat des machayikhs, il demande leur dû financier, et il exige davantage !
Leur dédain des réfutations que font nos machayikhs contre les moukhêlifînes. Tu les vois généralement contre ce fondement. Et au lieu de renforcer la position du cheikh qui met en garde, eux au contraire, ils se précipitent à faire l’éloge de la personne mise en garde. Je cite à titre d’exemple « le petit Ramadani » (d’Algérie) qui ne se gêne pas de louer Abou Ishaq El H Ou encore ses visites et ses louanges répétitives au hizbi Ibn Hanifiya, avec tout comme lui, son homologue dans la tamayyou‘ A. Madi qui incitait les étudiants et les prédicateurs à se rapprocher de ce hizbi, bien que les savants l’aient mis en garde.
Le tamyî‘ (liquéfaction) de la Voie salafie en Algérie, la rendant élastique et contenant les moukhêlifîns (ihtiwê’). Ils aspirent en fait à ce que la salafiyya en Algérie contienne le maximum de gens, sous prétexte de l’intérêt de la prédication ! et de la douceur envers les moukhêlifîns, prétendent-ils ! Or, ces moukhêlifîns, il y a parmi eux qui voit mal la voie salafie, notamment le djarh et le ta‘dîl (crédit et discrédit), et tentent depuis plusieurs années à faire le tamyî‘ de la daawa salafiyya. Dans leur conception des choses, on doit tous s’entraider, même s’il se trouve parmi nous ceux qui ont des infractions méthodologiques ou religieuses. Ce qui est bien évidemment assimilé à « la règle d’or » des ikhwên « Nous nous entraidons dans ce dont nous sommes d’accord, et nous excusons les uns les autres concernant ce dont nous divergeons »!
Porter atteinte en cachette aux machayikhs qui ont des positions méthodologiques claires et franches.
Le fait d’accuser leurs frères savants, les dénigrer et porter même atteinte à leur justice et leur religiosité. Je ne peux citer de meilleur exemple prouvant ce fait que les audios propagés dans lesquels A. Madi et A. Ramadani insultent carrément le savantissime cheikh Ferkous, le traitant d’ignare, de lâche et de désireux convoitant la direction de la daawa salafiyya dans le monde ! et que c’est eux qui l’ont « fabriqué » !! Et aussi l’audio où A. Awisset traite le savantissime Ferkous d’ignorant des fondements du fiqh ! et de la voie salafie. Et dans aussi l’appel téléphonique où il dit qu’il n’a jamais vu de plus menteur depuis 40 ans que le cheikh Azhar Senigra et Abdelmadjid Djemaa !!
Le takhdhîl (décevoir et désappointer) de nos machayikhs qui réfutent les gens de la passion et les hizbis (sectaires), tel que notre cheikh Azhar, le père éducateur Abî ‘Abd Allâh, et son frère fondamentaliste (ousôli), notre cheikh ‘Abd El Madjid Djemaa, Aboû ‘Abd Ar-Rahmên -qu’Allâh les préserve -.
La course à l’argent, par le fait d’avoir transformé la daawa salafiyya en une entreprise de charité, dans laquelle ceux qui y exercent en profitent. D’ailleurs, l’appel du halabi Taybi (que « les auteurs de la revue » défendent) dans sa présentation de la dawra « séminaire » suspecte de Laghouat où étaient présent même les soufis, et diffusée en vidéo n’en est qu’une parmi autant de preuves. Dans la présentation, on peut voir et écouter ce Taybi dire : « Et nous invitons les hommes d’argent à mettre leurs mains dans nos mains »!! S’ajoute à cela, l’audio scandaleux dans lequel A. Madi dit qu’il représente le syndicat des machayikhs, il demande leur dû financier, et il exige davantage !
Leur dédain des réfutations que font nos machayikhs contre les moukhêlifînes. Tu les vois généralement contre ce fondement. Et au lieu de renforcer la position du cheikh qui met en garde, eux au contraire, ils se précipitent à faire l’éloge de la personne mise en garde. Je cite à titre d’exemple « le petit Ramadani » (d’Algérie) qui ne se gêne pas de louer Abou Ishaq El H Ou encore ses visites et ses louanges répétitives au hizbi Ibn Hanifiya, avec tout comme lui, son homologue dans la tamayyou‘ A. Madi qui incitait les étudiants et les prédicateurs à se rapprocher de ce hizbi, bien que les savants l’aient mis en garde.
Le tamyî‘ (liquéfaction) de la Voie salafie en Algérie, la rendant élastique et contenant les moukhêlifîns (ihtiwê’). Ils aspirent en fait à ce que la salafiyya en Algérie contienne le maximum de gens, sous prétexte de l’intérêt de la prédication ! et de la douceur envers les moukhêlifîns, prétendent-ils ! Or, ces moukhêlifîns, il y a parmi eux qui voit mal la voie salafie, notamment le djarh et le ta‘dîl (crédit et discrédit), et tentent depuis plusieurs années à faire le tamyî‘ de la daawa salafiyya. Dans leur conception des choses, on doit tous s’entraider, même s’il se trouve parmi nous ceux qui ont des infractions méthodologiques ou religieuses. Ce qui est bien évidemment assimilé à « la règle d’or » des ikhwên « Nous nous entraidons dans ce dont nous sommes d’accord, et nous excusons les uns les autres concernant ce dont nous divergeons »!
Porter atteinte en cachette aux machayikhs qui ont des positions méthodologiques claires et franches.
Le fait d’accuser leurs frères savants, les dénigrer et porter même atteinte à leur justice et leur religiosité. Je ne peux citer de meilleur exemple prouvant ce fait que les audios propagés dans lesquels A. Madi et A. Ramadani insultent carrément le savantissime cheikh Ferkous, le traitant d’ignare, de lâche et de désireux convoitant la direction de la daawa salafiyya dans le monde ! et que c’est eux qui l’ont « fabriqué » !! Et aussi l’audio où A. Awisset traite le savantissime Ferkous d’ignorant des fondements du fiqh ! et de la voie salafie. Et dans aussi l’appel téléphonique où il dit qu’il n’a jamais vu de plus menteur depuis 40 ans que le cheikh Azhar Senigra et Abdelmadjid Djemaa !!
Le takhdhîl (décevoir et désappointer) de nos machayikhs qui réfutent les gens de la passion et les hizbis (sectaires), tel que notre cheikh Azhar, le père éducateur Abî ‘Abd Allâh, et son frère fondamentaliste (ousôli), notre cheikh ‘Abd El Madjid Djemaa, Aboû ‘Abd Ar-Rahmên -qu’Allâh les préserve -.