La révolte des gens de la sunna contre les gens de la sunna:
Shaykh Al Albânî : C’est pourquoi nous nous plaignons aujourd’hui de cette révolte qui est maintenant apparue en Arabie saoudite entre les gens de la sunna eux-mêmes, du fait qu’il soit apparu, en leur sein, ceux dont on peut penser qu’ils ont contredit les gens de la sunna dans certaines questions. Ils les ont alors qualifiés d’innovateurs et les ont sortis des gens de la sunna.
Il leur suffirait de dire dans un premier temps qu’ils se sont trompés. Puis, en second lieu, ils se doivent de leur exposer la preuve du Livre, de la sunna et ce sur quoi étaient les pieux prédécesseurs. Quant à ajouter à la division de la division et de la divergence, cela n’a jamais été dans les habitudes des gens de la sunna et du consensus (ahlou s-sunna wa l-jamâ’a).
C’est pourquoi, au vue du développement précédent, il n’est pas permis de bannir celui qui s’est peut-être trompé dans une question, que cette question soit dans les fondements ou dans les branches, qu’elle soit relative à la croyance ou à la jurisprudence: il n’est pas permis de le qualifier d’égaré, mais on doit agir avec lui de la meilleure des manières.
https://youtu.be/TbFb_2Aq97I
https://t.me/Cercle_des_Sciences
Shaykh Al Albânî : C’est pourquoi nous nous plaignons aujourd’hui de cette révolte qui est maintenant apparue en Arabie saoudite entre les gens de la sunna eux-mêmes, du fait qu’il soit apparu, en leur sein, ceux dont on peut penser qu’ils ont contredit les gens de la sunna dans certaines questions. Ils les ont alors qualifiés d’innovateurs et les ont sortis des gens de la sunna.
Il leur suffirait de dire dans un premier temps qu’ils se sont trompés. Puis, en second lieu, ils se doivent de leur exposer la preuve du Livre, de la sunna et ce sur quoi étaient les pieux prédécesseurs. Quant à ajouter à la division de la division et de la divergence, cela n’a jamais été dans les habitudes des gens de la sunna et du consensus (ahlou s-sunna wa l-jamâ’a).
C’est pourquoi, au vue du développement précédent, il n’est pas permis de bannir celui qui s’est peut-être trompé dans une question, que cette question soit dans les fondements ou dans les branches, qu’elle soit relative à la croyance ou à la jurisprudence: il n’est pas permis de le qualifier d’égaré, mais on doit agir avec lui de la meilleure des manières.
https://youtu.be/TbFb_2Aq97I
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