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Je souhaite un joyeux Noël aux lecteurs et à leurs proches ! 🎄

J'avais préparé, à l'attention des personnes qui réveillonnaient seules, du beau contenu culturel, dont voici un extrait publié hier soir.
Ce midi, vous avez pu entendre des chants de Noël bien 🇫🇷 français !
Dimanche, les plus observateurs auront remarqué notamment un concert aux couleurs Z : la culture folklorique russe est parfaitement alignée avec le thème de la chaîne, ses chanteurs et chorégraphes aussi.

L'actualité s'annonce dense ce soir ! On ne peut compter sur aucune trêve pour le Noël catholique ! A bientôt donc 😊


J'ajouterai les passages suivants dans mes notes de lecture publique sur le viol des Foules par la Propagande Politique, de Serge Tchakhotine

Page 59 (dans la nouvelle numérotation), relative aux pages 148, 149, 153, 188 et 189 :
2/3

Certains meneurs contemporains, bien qu’évitant la pulsion combative, ont mobilisé les masses par des stratégies reposant sur des formes de solidarité émotionnelle (pulsion n° 4) ou sur des revendications économiques (pulsion n° 2). Toutefois, ces approches sont restées limitées face à un meneur agressif et sa propagande politique dominante.

Nous voyons des appels à la haine (et des actes violents) de la part de la propagande bolchevique à l'égard de ses opposants (de nos jours, les opposants ont été représentés par les Gilets Jaunes ou les opposants à la politique « sanitaire »), mais les opposants prennent un soin tout particulier à éviter tout discours (et plus encore tout acte) viril pour éviter de faciliter les discrédits de la propagande adverse sur leurs personnes.
C’est une technique très intéressante. Comment cela fonctionne-t-il ? Le meneur qui possède le pouvoir utilise de manière détournée la provocation violente et la violence dite « légitime ». De plus, il a interdit et décrédibilisé auprès des masses l’utilisation de la pulsion n° 1 (cf. le concept du « faux gentil meneur » présenté auparavant). Alors, il n’attend qu’une chose : que ses adversaires tombent dans le piège de la réponse violente à ses provocations moins directes.
Or, ce que nous dit l'auteur est clair : toute propagande, toute idéologie, qui n'aurait recours à la pulsion n° 1, est condamnée.
Les stratèges politiques actuels doivent rechercher comment sortir de cette impasse : un meneur fort, qui a obtenu l’accès à la « violence légitime », et qui utilise cyniquement la provocation violente ou qui utilise discrètement une force tierce pour attaquer ses adversaires sur la pulsion n° 1, est tout puissant, puisque ses adversaires ne peuvent pas répondre.
L’interdiction d’utiliser la pulsion n° 1, lorsqu’on dispose du « joker » de la « violence légitime », est une triche, un autoritarisme déguisé. Sauf si une force supérieure interdit au meneur d’utiliser les moyens de l’État pour appuyer son propre pouvoir. Malheureusement, cette option est irréaliste.
Une alternative pourrait consister à mobiliser la pulsion combative dans des formes non violentes mais percutantes, comme des campagnes médiatiques qui retournent les symboles de la violence légitime contre les meneurs en place. Cependant, cette méthode laisse l'initiative au camp adverse.

Ainsi, comme le montre Tchakhotine, la pulsion combative est un élément stratégique : elle est le socle d’une propagande victorieuse. Pour cette raison, elle est un enjeu majeur pour les propagandistes modernes. Les meneurs ayant obtenu le pouvoir peuvent tenter de l’interdire à leurs adversaires, tout en se la réservant de manière directe (en la présentant aux yeux des masses comme légitime) ou détournée (en utilisant des forces tierces), pour tenter de détenir le pouvoir absolu. Pour les meneurs qui n’ont pas le pouvoir, s’ils continuent à éviter la confrontation combative, leur défaite est inévitable. S’ils choisissent de l’adopter, ils vont au devant de graves difficultés.


En plus de la désactivation de la fonctionnalité « chaînes similaires » en Occident, permettant d'obtenir la liste des chaînes que les autres abonnés suivent, on découvre un changement fondamental dans la plateforme Fragment, qui gère les transactions sur Telegram (achat/revente d'étoiles payantes, de noms d'utilisateur, de numéros Telegram présentés comme anonymes car non liés à une carte SIM, de compte Telegram premium, d'achat de publicités et de rétribution publicitaire etc).
Fragment était soudainement devenu inaccessible en France depuis début octobre, empêchant les fonctionnalités listées ci-dessus. Le retour de son accès coïncide avec ce changement en vigueur dans le monde entier : tout achat ou vente doit dorénavant s'accompagner de la divulgation du numéro de téléphone, du courriel, des informations permettant l'identification de la personne, d'une copie de la carte d'identité et d'un selfie en temps réel.
Le plus drôle est de proposer l'achat de numéro de téléphone anonyme en échange de la divulgation de l'identité. Le poisson d'avril est un peu en retard cette année 😂

Bref, la francisation de la messagerie se poursuit, c'était attendu, car la bureaucratie franco-occidentale ne pouvait pas admettre même un vague anonymat dans les transactions commerciales (qui n'étaient pourtant pas anonymes puisque les adresses IP et comptes Telegram permettaient d'identifier les origines des transactions, mais la bureaucratie franco-occidentale aime avoir un lien direct lorsqu'il s'agit de suivre tous les paiements).

👉 Les gens sont devenus bien plus anonymes en achetant en personne chez le boulanger du coin de leur rue leur baguette de pain avec du liquide qu'en payant avec du TON depuis un hôtel le compte Telegram premium associé à leur numéro de téléphone (pour lequel leur opérateur possède leur carte d'identité et leur IBAN) 😂


Russie, mise à jour de la carte du front

🔸 Bolchoï Yanisol (Velikaya Novosolka) (front sud Zaporozhye/DNR), dernière MAJ le 17 décembre
Au nord, l'armée russe reprend Razdolnoe une énième fois et la situation est figée à Novy Komar, qui reste partiellement contrôlé par les deux camps.
Au sud, l'armée russe prend le reste de Blagodatnoe et combat pour Storozhevoe.


Le 23 décembre, le grand vraquier russe Ursa Major a franchi le détroit de Gibraltar.

Il devait se rendre à Vladivostok pour y livrer deux grues maritimes pour le terminal portuaire et des équipements pour la construction de brise-glaces à propulsion nucléaire. L'ensemble devant assurer le développement de la Route Maritime Nord et de ses infrastructures : c'est la nouvelle route maritime qui doit concurrencer le passage par Suez et Gibraltar, en passant par le pôle nord.

Au sud-est de l'Espagne, à la hauteur d'Almera et d'Oran, le vraquier a subi une soudaine explosion dans sa salle des machines, s'est enfoncé de l'avant et a coulé plus tard avec l'ensemble de son chargement et 2 de ses 18 marins. Cela suscitera un retard dans la mise en œuvre de la Route Maritime Nord. La piste du sabotage, ou d'une attaque de la part de rivaux géopolitiques et économiques, est à l'étude.

Les Occidentaux ne sont pas toujours stupides dans leurs analyses publiques et se demandent si le navire devait livrer en réalité les grues en Libye/LNA pour y développer l'infrastructure portuaire afin de servir de base de secours après la perte de la Syrie, ou précisément à Tartous pour améliorer la capacité des grues présentes compte-tenu de la situation exceptionnelle.

Operline, qui s'est spécialisé depuis des années dans les transports stratégiques maritimes et aériens, ajoute :
Le navire Ursa Major fait partie des navires « sanctionnés » par l'Occident, et comme tous les navires sanctionnés, il n'affiche jamais sa destination finale réelle sur le suivi international des navires, il indique Vladivostok mais s'arrête bien plus tôt. L'Ursa Major était habituellement utilisé ces derniers temps pour assurer des livraisons exclusivement à Tartous en Syrie, depuis la Baltique, où il rentrait après sa mission, alors que sa destination officiellement déclarée était toujours fausse. Néanmoins, Operline estime qu'il y a une petite chance que Vladivostok ait bien été cette fois la destination réelle.
Le navire était sous escorte militaire partielle : il y a presque toujours des interruptions, toujours aux mêmes endroits, dans l'escorte des navires russes. Des corvettes de la Flotte de la Baltique l'escortaient dans les détroits de la Baltique, puis entre les détroits franco-anglais jusque dans la partie nord du golfe de Gascogne, puis des navires basés à Tartous reprenaient l'escorte jusqu'en Syrie.
Cette fois encore, la corvette Soobrazitelny a escorté l'Ursa Major et le Sparta. Dans le détroit de Gibraltar, les navires ont été traditionnellement laissés sans escorte, cependant deux navires de débarquement de la Flotte du nord, l'Ivan Gren et l'Alexandr Otrakovsky, se trouvaient à proximité immédiate. Puis l'Ursa Major a subi une explosion et a coulé plus tard.

On annonce que le navire russe d'espionnage militaire Yantar, appartenant à la Flotte du nord, qui après avoir visité l'Algérie début décembre, effectuait depuis des « tâches » entre la France et l'Italie, a été immédiatement envoyé sur le site du naufrage pour analyser la coque du navire et tenter de déterminer la cause de l'explosion (d'abord si elle a été externe, ce qui règle la question, ou si elle a été interne, dans ce cas il sera nécessaire de visualiser l'intérieur pour tenter d'en savoir davantage).
Les conclusions ne seront probablement pas diffusées au public.

A suivre (j'ai peu d'espoir qu'on en sache plus).


Point sur la guerre en Russie

L'armée russe continue à utiliser des véhicules civils en raison d'une pénurie catastrophique de véhicules d'infanterie (secteur de Pokrovsk si j'ai bien suivi), se refusant de marquer une pause le temps de reconstituer son matériel, pour ne pas laisser l'ennemi organiser sa défense.
Une situation globalement inquiétante (risques de devoir geler le front, pertes importantes de personnels) et un choix tactique qui paraît correct, tant que les gains territoriaux dépassent les pertes humaines subies.
En espérant que ce ne soit qu'un problème local et temporaire.
Les raisons de la pénurie sont à étudier, si elles sont dues à des fautes ou à des mauvais choix, des sanctions et/ou des correctifs sont nécessaires.

🔺 La présidente du Sénat russe, l'influente Valentina Matvienko, annonce que les négociations sur la fin de la guerre contre Kiev commenceront de manière évidente en 2025, mais elle prévient que ce sera très difficile.

Défaut des drones kamikazes FPV guidés par fibre optique : ils sont lents et plus gros (en raison de la bobine qui se déroule). Ils sont donc visibles et les conducteurs apprennent progressivement à tenter de les éviter. Même en marche arrière, un véhicule peut espérer s'en sortir. En théorie.

Le bureau de censure russe a proposé sa solution toute trouvée au problème des appels téléphoniques depuis Kiev à la partie de la population russe la moins intelligente, l'interlocuteur se faisant passer pour policier ou en échange de paiement, demandant de commettre des sabotages. Les bureaucrates, pas beaucoup plus intelligents que les saboteurs, proposent de bloquer les appels téléphoniques venant de l'étranger, y compris par messagerie Internet. Ces saboteurs institutionnels ne manquent aucune occasion pour servir les intérêts de l'ennemi et ne s'arrêteront qu'après avoir transformé l'Internet en Russie en un intranet chinois bis.
Nulle possibilité de supprimer cette structure bureaucratique inadéquate, l'élite l'utilise selon sa logique. Comme si le pays était programmé pour aller vers son destin inéluctable.

Chez Kiev, l'éventuel abaissement de la mobilisation à l'âge de 18 ans, réclamée par les Occidentaux, se fera probablement avec la promesse de démobiliser ceux qui sont au front depuis la première année de guerre. Mais la même promesse de démobilisation avait été faite le 11 avril 2024 comme carotte à l'abaissement de la mobilisation à l'âge de 25 ans, ce qui n'a pas eu lieu en raison de l'opposition de l'armée. Donc on s'attend à ce que la carotte habituelle soit utilisée une fois de plus, mais peut-être que cette fois elle sera appliquée, pour faire passer la pilule.
On note qu'en Russie, la démobilisation des civils envoyés de force au front fin 2022 n'est même pas posée. L'élite politique préfère les user jusqu'à l'os pour éviter de devoir mobiliser d'autres citoyens, ce qui ferait encore d'autres mécontents : stratégie méchante pour les tirés au sort, mais judicieuse.

Un Su-25 russe a percuté un drone de reconnaissance russe Zala. Les dommages modérés n'ont pas blessé le pilote et ne l'ont pas empêché de rentrer sur son aérodrome.

Le politburo européen s'est ingéré dans la politique intérieure du Kirghizistan, de l'Azerbaïdjan, de la Géorgie, de la Russie, menaçant de toutes sortes d'attaques économiques si la manière d'administrer leur population et leur pays n'était pas modifiée selon les opinions de l'UE.
Le Kirghizistan a répondu qu'étant à des milliers de kilomètres et étant un État indépendant et souverain, il invitait les Européens à ne pas s’immiscer dans sa politique intérieure, mais qu'ils pouvaient lui rendre visite s'ils voulaient discuter de points de coopération.


L'actualité syrienne continue d'évoluer de manière intéressante

Les terroristes HTS qui ont pris le pouvoir dans l'ancienne Syrie sont remplis de contradictions. L'obsession du chef de HTS pour le pouvoir est ce qui limite paradoxalement le plus les violences, actuellement.
L'attaque des terroristes affiliés à son groupe HTS, contre les chrétiens à Suqaylabiyah, ayant suscité d'importantes manifestations à travers le pays hier soir, y compris de la part de populations d'autres religions minoritaires, a retenu l'attention de HTS d'une manière particulière.
Le groupe n'a pas approuvé l'attaque, a informé qu'il remplacerait les objets détruits ou endommagés (le sapin de Noël etc), a capturé 8 des terroristes impliqués (apparemment des Ouzbeks), a refusé de reconnaître leur appartenance à HTS ou à des groupes terroristes proches et les a qualifiés d'anciens soldats syriens !
Pour les autres attaques terroristes, qui ont notamment tué, entres autres en leur coupant la tête, des alaouites à Lattaquié, des chrétiens à Homs et un ancien soldat syrien à Deir-Ez-Zor connu pour avoir longuement coopéré avec l'armée russe, les terroristes HTS ont également rejeté leur responsabilité en évoquant des crimes de droit commun (« des victimes de voleurs »).
De manière générale, les attaques terroristes prennent de l'ampleur, et les anciennes milices pro-gouvernementales commencent même à oser ressortir leurs armes. Le bain de sang général est pour le moment évité par le seul effet du tyran Julani, qui a besoin d'un pays à peu près stable pour développer son pouvoir avec la coopération des autres pays. Celui-ci tente actuellement de désarmer ses rivaux.

Du côté du nord de l'Euphrate, les américano-kurdes ont profité du fait qu'il n'y avait plus de présence de turco-terroristes sur la rive ouest pour y reprendre pied en établissant des têtes de pont au niveau du barrage de Tishrin, du pont de l'autoroute M4 et d'une vaste zone à l'ouest du lac Assad. Il est étonnant que les turco-terroristes n'aient pas défendu ces endroits, surtout le barrage de Tishrin, stratégique pour Alep, se satisfaisant des accords convenus entre la Turquie et les USA.
🔸 Il est fort possible que les américano-kurdes s'amusent à se montrer insolents en saisissant des secteurs avec opportunisme, et qu'ils se retirent dès le retour des turco-terroristes, comme d'habitude, ou qu'ils en profitent pour exiger de nouveaux accords pour un retrait pacifique, une façon très traditionnelle de faire des affaires.
🔸 Cela peut aussi être le résultat de l'évolution d'accords, ce sera intéressant de suivre la suite des événements, car le contrôle des barrages de l'Euphrate est déterminant pour Alep. Si les terroristes laissent les barrages aux américano-kurdes, cela les contraindra d'acheter l'électricité, l'eau et l'entretien des infrastructures, et de laisser des leviers de pression significatifs à leurs rivaux.
🔸 Cela pourra aussi servir de prétexte à la Turquie pour appuyer ses copains de HTS dans une pression armée exercée contre les américano-kurdes jusqu'à leur éjection complète des rives de l'Euphrate, de la frontière turque et des champs d'hydrocarbure au sud de DEZ.

Ailleurs dans le monde, la banalisation du terrorisme s'instaure de plus en plus, que cela soit en Allemagne ou aux USA, et ce n'est pas la politique du monde entier à l'égard des terroristes HTS qui va arranger les choses, on observe plutôt une « résignation » active à cet état de fait, on veut faire accroire aux gens que le terrorisme islamique est inéluctable et qu'il faut apprendre à vivre avec. C'est ce que je retiens de l'effondrement de la Syrie.


J'ajouterai les passages suivants dans mes notes de lecture publique sur le viol des Foules par la Propagande Politique, de Serge Tchakhotine

Page 56 (dans la nouvelle numérotation), relative aux pages 148, 149, 153, 188 et 189 :
1/3

🔶 Tchakhotine pourrait répondre à mes critiques en esquivant de cette manière :
« Les sociétés modernes, fondées sur une logique économique et rationnelle (capitalisme, démocratie libérale, socialisme réformiste), sont dominées par des propagandes "faibles", c’est-à-dire des campagnes s’appuyant sur des faits économiques et des arguments rationnels, ainsi que sur des réformes sociétales basées sur la pulsion sexuelle, plutôt que sur des émotions fortement mobilisatrices. Cette approche, bien que logique, manque de puissance affective pour fédérer les populations, comme le montrent les difficultés des démocraties à lutter contre des mouvements totalitaires ou autoritaires plus "combatifs".

Les thèmes médiatiques contemporains centrés sur des crises économiques, politiques et écologiques illustrent cette impasse. L'incapacité des modèles actuels à proposer des réponses unifiées et mobilisatrices peut être interprétée comme un signe de fin de cycle. En ce sens, les sociétés modernes ont atteint un point de stagnation ou d'épuisement idéologique, et leur "renouveau" nécessiterait un passage par une phase de rupture ou de transition vers une nouvelle structure sociale et idéologique, portées par un puissant engagement populaire. »

🔷 Néanmoins, si le meneur parvient à éliminer toute rivalité directe d’une propagande allant jusqu’à la pulsion combative, donc en clair en l’absence de menaces autoritaires, le dit meneur peut s’autoriser à se limiter aux pulsions inférieures. Voici quelques exemples :
Des mouvements comme ceux de Gandhi en Inde ou Martin Luther King aux États-Unis, quoi qu’on puisse penser de leur réelle autonomie, illustrent la capacité à mobiliser des foules autour d'idéaux fondés sur des valeurs parentales (solidarité, justice sociale) et non combatives.
Plus récemment, des mobilisations telles que celles sur le thème climatique ou de décroissance économique ou démographique, utilisent des stratégies émotionnelles et « rationnelles », même si scientifiquement et spirituellement fausses, basées sur des préoccupations écologiques (pulsion alimentaire/de perpétuation) pour influencer l'opinion publique et les gouvernements. Quoi qu’on puisse penser, là encore, de leur réelle indépendance vis-à-vis des intérêts des grandes entreprises internationales, qui se servent de ces mobilisations qu’elles financent pour favoriser une obsolescence programmée, saper les positions de leurs concurrentes et introduire de nouvelles règles économiques et produits financiers.
Le fait est que ces formes de propagande politique, si elles ne sont pas confrontées à une rivalité directe d’une propagande combative, ou si le meneur parvient à interdire cette rivalité, réussissent à mobiliser les masses en s’appuyant sur des formes de propagande qui mêlent l’éthique, la science et l’émotion, tout en rejetant officiellement la violence.
Dans les faits, les observateurs remarqueront que la propagande politique moderne qui se présente comme non violente, s’appuie sur des manifestations souvent accompagnées de « casseurs » et d’émeutiers, ou d’individus cherchant à entraver le fonctionnement d’entreprises historiques et économiquement stratégiques.
La manipulation consiste à faire accroire que le meneur n’utilise pas la pulsion combative, il cherche d’ailleurs à se distancer de toutes les manières possibles de la violence ; toutefois, qu’il soit de bonne volonté ou non, ce gentil meneur, consciemment ou non, est utilisé par d’autres meneurs qui ont recours à la pulsion combative pour obtenir la victoire dans leur campagne politique.


L'équipe Trump n’est pas encore officiellement redevenue à la tête des États-Unis, mais elle ne perd pas de temps, ces dernières semaines, elle a fait plusieurs déclarations très médiatisées en matière de politique étrangère :

Le politicien a déjà évoqué l'annexion du Canada, du Groenland et la reprise du contrôle du canal de Panama, abandonné en 1999. Le président panaméen José Raul Mulino a protesté publiquement, déclarant que chaque mètre du canal de Panama appartenait dorénavant au Panama. Trump, à son tour, a répondu « nous verrons cela » et a ensuite publié une photo du Canal avec un drapeau américain et la légende « Bienvenue dans le Canal de l'Amérique ! » .

Le comportement de Trump n’est pas simplement populiste, mais une mise en œuvre cohérente de son idéologie politique « l’Amérique d’abord ».
Il a déclaré à plusieurs reprises que le transfert de ce canal au Panama en 1999 était stupide, dans la mesure où les États-Unis avaient perdu un atout stratégique qui contrôlait la route commerciale la plus importante du monde.
Selon Trump, la propriété du Canal donnait aux États-Unis un levier commercial, en particulier avec les pays d’Asie et d’Amérique latine.

Trump essaie désormais de faire face à l’influence croissante de la Chine, qui investit activement au Panama et pourrait à l’avenir renforcer encore sa position dans la région.
https://t.me/rybar/66593

➡️ Il est utile de rappeler ici que la Chine a cherché à construire un canal alternatif au Nicaragua. Les faibles perspectives économiques ont conduit à l'abandon du projet ces dernières années, et l'investisseur chinois lui-même a fait en quelque sorte faillite. L'intention de Washington de reprendre le Canal de Panama pousse Pékin à réfléchir à réétudier le projet alternatif.

👉 On ne peut reprocher à l'équipe Trump de mener une politique transparente et positive pour son pays.
On reproche l'inverse aux autres pays, qui mentent et sont devenus vassaux d'une idéologie mondialiste mortifère au service de certains oligarques US qui s'en servent pour éliminer la puissance économique et le pouvoir de leurs rivaux (notamment via une corruption hors norme et la prise de contrôle de leurs actifs).
Le mensonge et l'affaiblissement de nos pays doivent être combattus.
La compétition doit être soutenue.
Peut-être que la nouvelle équipe de choc qui dirige notre pays pourrait elle-aussi annoncer sa participation à la compétition internationale et son retour dans une de ses régions historiques ? Vers le retour de notre croissance ?




Russie, mise à jour de la carte du front

🔸 Est Oskol, partie nord, dernière MAJ le 19 octobre
L'armée russe prend Lozovaya et entre dans Dvurechnaya, en rive ouest de l'Oskol, et dans Zagryzovo.

🔸 Nord-ouest d'Avdeevka, Grishino (Pokrovsk en langue bandériste), dernière MAJ le 18 décembre
L'armée russe est entrée dans Dachenskoe et dans Novovasilevka et s'est approchée de Maryinskaya Pustosh (Peschanoe).

🔸 Zaporozhye, en bordure du réservoir de Kakhovka, dernière MAJ le 7 octobre
L'armée russe s'est retirée du flanc ouest de Kamenskoe et de l'espace asséché du réservoir.


Point sur la guerre en Russie

Un mercenaire australien a été capturé par l'armée russe et est menacé de 15 ans de prison. Une personnalité australienne pro-russe, descendant de parents russes, enfermée dans le consulat russe à Sydney pour échapper aux persécutions australiennes, a proposé de se faire échanger : qu'il soit expulsé en Russie et que le mercenaire soit restitué à l'Australie. @rybar y voit un jeu qui ne peut être que gagnant pour la Russie, si elle reprend cette proposition : en cas d'accord, elle reçoit un descendant russe très patriote et très connu dans le monde, en échange d'un type peu intelligent ; en cas de refus de la part de l'Australie, c'est l'Occident qui passe pour celui qui abandonne les siens.

L'armée russe reçoit des mitrailleuses nord-coréennes peu performantes. La pénurie touche divers équipements, tour à tour...

La Russie poursuit ses menaces de censurer WhatsApp en 2025. Cette application qui aurait dû être censurée dès 2022, est toujours une source d'informations redoutables du renseignement US. Au lieu de cela, la Russie a censuré une multitude de services utiles qui ne représentaient aucun danger.

Chez Kiev, on construit une solide ligne Maginot défensive loin dans les arrières, en région de Dnepropetrovsk. C'est intelligent, l'ennemi profite de la lenteur de l'armée russe pour construire une ligne d'arrêt plus en profondeur, la Russie devrait en faire autant.

En Géorgie, l'ancienne dirigeante franco-géorgienne a du mal à quitter son ancien poste, exige soudainement la tenue de nouvelles élections et évoque « un renversement du régime » en rejetant la responsabilité sur ceux qui ont gagné les élections : « il n’y a plus d’autre issue ».
Peut-être a-t-on mal compris les propos, attendons la suite pour confirmation.

😊 Une bonne nouvelle. Evgueni Makovsky, le directeur d'une entreprise pharmaceutique produisant le vaccin Convacell contre le SRAS-2, a réclamé 200 mille $ de dessous de table pour poursuivre la fourniture de son produit à Igor Rudykh, directeur d'un distributeur de médicaments, qui a accepté de payer.
Makovskya été condamné à 9 ans de prison, Rudykh à 8 ans.


Dans l'ancienne Syrie, les terroristes attaquent et pillent les maisons des alaouites et ont attaqué le village chrétien de Suqaylabiyah en province de Hama, où ils ont notamment incendié le sapin de Noël. La population chrétienne dans l'ancienne Syrie tente ce soir de protester contre les attaques terroristes. Plus tard dans la nuit, les manifestations se sont déclarées un peu partout dans le pays, y compris à Damas. Même les druzes ont rejoint les protestations en faveur de la protection des minorités.
On pense que les terroristes qui attaquent les villages (en faisant des raids avant de partir ailleurs) sont des étrangers du Proche-Orient, davantage originaires d'Asie centrale, affiliés à HTS.
Bon courage à la population, il aurait été plus simple de ne pas abandonner la lutte anti-terroriste...

Le chef terroriste de HTS a reçu la visite du MAE turc. Cela a été intéressant à plus d'un titre.
🔸 D'abord, le ministre a dit qu'Ankara aimerait que les USA quittent l'Est de l'Euphrate pour que HTS puisse y attaquer les bandes arabo-kurdes soutenues par Washington, et prendre le contrôle des champs d'hydrocarbure pour apporter un revenu financier au groupe contrôlant l'ancienne Syrie.
🔸 Julani s'est montré extrêmement conciliant et a approuvé tout ce que le ministre disait, soulignant l'aide apportée par la Turquie depuis le début de la guerre.
🔸 Avant l'entrevue, des médias ont publié un entretien avec le ministre turc, déclarant qu'Ankara soutenait le groupe de Julani depuis 2014 ! Et qu'en contrepartie, Julani coopérait en fournissant des informations sur l'ensemble des groupes terroristes, en particulier rivaux : en quelque sorte, il faisait office de taupe parmi l'ensemble du milieu terroriste syrien et irakien, ce que l'on savait à peu près déjà depuis plusieurs années.
Des fanatiques de HTS n'ont pas apprécié ces publications et ont fait une liste des bons médias qui ne relaient pas ces informations portant atteinte à l'image d'un groupe indépendant qui était entièrement tourné vers la guerre contre Damas.


Sergey Shilov étudie la personnalité du chef terroriste de HTS, qui a pris le contrôle de l'ancienne Syrie (d'après-vous, Julani, tyran ou totalitaire ?)

Julani a commencé sa carrière de chef terroriste en Irak, où il a reçu le mandat de créer une filiale d'al-Qaïda en Syrie, sous le nom de Jabhat al-Nosra. Julani a d'abord renforcé sa position puis a déclaré son refus d'obéissance à la structure irakienne. Son chef en Irak a lui-même abandonné al-Qaïda pour créer ISIS. Les deux groupes se sont violemment combattus.

Vainqueur en Syrie, en particulier à Idleb, Julani a désigné ses rivaux comme étant des partisans d'ISIS, permettant la poursuite des combats pour devenir le principal groupe d'Idleb.
Se rendant compte que le terrorisme trop flagrant faisait obstacle à l'obtention d'alliés de poids et à la reconnaissance internationale, il adapta d'abord son discours en limitant ses ambitions à la seule Syrie historique. Mais cela ne lui a pas suffit pour obtenir le soutien occidental. Il a alors adapté ses méthodes, tout en poursuivant la neutralisation des groupes rivaux.

Il a prioritairement ciblé ses groupes rivaux les plus adeptes de la terreur, en les attaquant. Mais progressivement, il a cherché à mobiliser de moins en moins de force au fur et à mesure qu'il prenait le dessus sur ses concurrents, jusqu'à se dispenser d'opérations armées contre ses rivaux très affaiblis. Pour eux, il s'est limité à faire éliminer leurs chefs de temps à autres par Washington, en communiquant l'adresse de leur résidence ou de leurs réunions. D'une pierre deux coups : il apparaissait moins violent et se montrait plus coopératif avec des alliés à fort potentiel, comme l'hégémon américain.
Les groupes qui ont cherché à négocier ont été autorisés à devenir les filiales de HTS (le nouveau nom de son groupe) en conservant leur propre structure.

En bref, Julani n'a cessé de changer de discours et de méthodes en faveur de ce qui lui permettait d'obtenir le plus de pouvoir. Les individus qui l'ont fréquenté ont décrit quelqu'un obsédé par le pouvoir, prêt à tout pour obtenir le plus de pouvoir possible : l'idéologie, les principes, les adversaires marginaux, lui sont secondaires, tant qu'ils ne sont pas une menace sérieuse à son pouvoir, ou tant qu'ils ne sont pas nécessaires à son pouvoir.

Sergey cite le cas de son adjoint historique, qu'il a fait emprisonner et torturer l'année dernière, au sujet de désaccords, précisément sur la question de la collaboration avec des ennemis du passé. L'affaire ayant fait scandale dans le monde terroriste, Julani s'est rattrapé après quelques mois, l'a fait libérer, mais l'ex-adjoint a été immédiatement tué par un terroriste kamikaze après sa remise en liberté. Traditionnellement, le principal bénéficiaire, Julani, a accusé ISIS. Une méthode alternative qu'il affectionne : il n'attaque plus directement ses plus grands rivaux, il déclare qu'ils ont été éliminés par quelqu'un d'autre.

Sergey conclut qu'à l'échelle du pays, Julani va appliquer la même politique : faire éliminer ses rivaux menaçant le plus son pouvoir, par la main de l'armée US ou autres (pourquoi pas l'armée russe, Moscou lui a proposé une assistance militaire contre des ennemis communs), ou bien par des attaques anonymes labellisées « ISIS » ; sans s'attaquer ouvertement contre des minorités, puisqu'elles ne menacent pas son pouvoir. En revanche, les plus grands soutiens à l'ancien gouvernement Assad, et à l'ancienne SAA, en particulier les Alaouites, risquent de monopoliser son attention, car ils représentent une forte menace, et les adeptes de HTS ont du mal à accepter d'oublier les 13 années de guerre passées. Julani risque d'être lui-même la cible d'accusations internes, et donc d'affaiblir son pouvoir, s'il refuse les répressions contre ceux qui constituaient l’épine dorsale du gouvernement Assad. Or, vous avez compris que le tyran ne s'y risquera pas.

Quant à l'armée turque et les groupes terroristes les plus pro-turques, il sera contraint de composer avec, ils assurent son pouvoir, tout en le régulant.


Chez l'ennemi, il y a aussi des « journalistes et blogueurs militaro-politiques » engagés dans la communication publique, exposant l'actualité géopolitique du point de vue de Kiev et tentant d'utiliser l'espace public pour résoudre des problèmes internes à Kiev, assez similaires à ceux en Russie (dénonciations de mauvaises stratégies, de mauvaises tactiques, de fausses victoires, de produits de mauvaise qualité, de problèmes divers etc).

Jusqu'à la fin 2024, cela se passait à peu près bien selon le scénario entendu entre les diverses personnes impliquées. D'après les observateurs russes (qui se considèrent homologues), le média publiait des informations pertinentes.

Mais Kiev semble avoir décidé que ce n'était plus utile de s'encombrer avec une sorte de blogueurs exprimant des voix un peu indépendantes et parfois gênantes pour la multitude de personnes physiques et morales se livrant une rivalité au sein de l'appareil politico-militaire kiévien.
Des politiciens de Kiev veulent que l'équipe de DeepState soit capturée et envoyée en première ligne, et que le projet soit entièrement supprimé.
DS confirme les pressions subies.

Il est possible qu'il s'agisse d'un moyen pour impressionner l'équipe de DS pour les amener à être plus dociles, ou peut-être qu'il s'agit d'un jeu de propagande pour renforcer l'apparence de média indépendant.

➡️ Il est intéressant de constater que la Russie et le régime de Kiev possèdent un tel système similaire hérité de la période soviétique, où les personnes sont autorisées à s'exprimer à peu près librement, et modérées progressivement, à posteriori (le système peut mettre plusieurs années à réagir, mais si les avertissements ne sont pas pris en compte, la répression tardive va jusqu'à de longues peines de prison, ou la mort).

En Occident, il peut être paradoxal de constater que l'information est bien plus encadrée, contrôlée et censurée, même sur des sujets secondaires ou qui ne concernent pas les pays concernés. Le système réagit sans tarder, par toutes sortes de censures, intimidations, menaces et répressions.

Ce sont deux systèmes différents, mais le système hérité du soviétisme paraît plus souple avec les personnes de bonne volonté, en leur accordant de larges droits à l'erreur et éventuellement des coordinations via des réunions dans lesquelles un échange de vues et de consignes a lieu. C'était déjà le concept voulu par Staline, y compris pendant la Seconde Guerre Mondiale.




Notre cher Andrey Filatov a encore failli nous quitter... Roulant à vive allure, il a glissé sur la route verglacée, puis la voiture s'est retournée en touchant le bas côté, jusqu'à s'immobiliser contre un arbre. N'ayant pas mis sa ceinture de sécurité, Andrey a été projeté contre le parebrise, mais sa chance légendaire l'a protégé une fois de plus, cet arbre qui a immobilisé le véhicule a permis à Andrey de ne pas avoir son corps écrasé. Il s'en sort sans la moindre égratignure !

Il rigole en pensant que s'il était mort, tout le monde aurait naturellement accusé les trafiquants de drogue tchétchènes ou le contre-espionnage civil ou militaire russe, de l'avoir éliminé dans un accident de la route. Oui, cela aurait été une accusation évidente, à 100 %.
La réalité était bien plus simple. Il joint la vidéo de l'accident. Parce que notre cher Andrey rit de tout et aime se filmer pour ne manquer aucune de ses propres bêtises pour en rire. Comme il le dit lui-même, il se moquera de sa propre mort quand la chance l'aura quitté.

Ayant perdu son moyen de transport, il a fait par hasard la rencontre de quelqu'un qui, d'après-lui, contribuera à la Victoire.


Le Qatar refuse de participer aux nouvelles histoires européennes relatives à l'interdiction progressive des énergies à hydrocarbure. Le gouvernement du Qatar a répondu qu'en cas d'application de la taxe de 5 % sur ses ventes d'hydrocarbure à l'UE, il cessera de vendre du GNL à l'Europe.
https://t.me/bbbreaking/196782

Une réponse simple et efficace. L'UE pourra trouver un intermédiaire pour continuer à acheter le GNL du Qatar, mais l'intermédiaire ajoutera sa propre marge, et les clients finaux européens paieront leur gaz plus cher. On a l'habitude 😊


La fonctionnalité « chaînes similaires » qui donnait un lien vers les principales chaînes suivies par l'ensemble des autres abonnés, était devenue la principale source de nouveaux abonnés, pour le contenu politique ou géopolitique occidental. Je ne m'étais pas rendu compte de l'ampleur du phénomène.
En exigeant de retirer cette fonctionnalité aux chaînes géo/politiques occidentales, les stratèges de propagande politique ont porté un coup significatif à la popularité des journalistes et blogueurs diffusant des informations indépendantes ou concurrentes.
Cette invisibilisation du contenu échappant au contrôle de l'Occident est un simple retour à 2023, lorsque la fonctionnalité n'existait pas. Toutefois, ceux qui conservent l'accès à cette fonctionnalité, donc les chaînes conformistes, verront leur popularité favorisée.

Il n'est donc pas étonnant que les journalistes et blogueurs occidentaux expriment tous leur fort mécontentement.


Point sur la guerre en Russie

Dans le secteur de Pokrovsk, l'armée russe a utilisé des voitures civiles près du front, l'ennemi a fait un carnage.
L'ennemi lui-même avait dû recourir à des voitures civiles au moment de son offensive de Kherson en automne 2022, alors qu'il était en pénurie de véhicules blindés et qu'il avait jugé qu'il ne pouvait se permettre de patienter pour saisir l'occasion qui se présentait à lui. Il est possible que la même chose se produise côté russe actuellement.

VVP dit que contre l'avis des militaires russes, il tient à poursuivre la production et l'utilisation du missile balistique de moyenne portée Oreshnik. La première utilisation n'avait pas produit de résultats militaires et les effets psychologiques ont été inexistants, du fait du choix d'une cible inadaptée pour les ogives trop faibles du missile. Nous verrons si VVP compte sauver la crédibilité de l'Oreshnik ou pas.

Andrey Filatov a diffusé plusieurs vidéos sur RT ces dernières semaines, à propos des batailles pour Krasnogorovka au mois de mai 2024 (1, 2, 3, 4). Sous-titrées en anglais par intelligence artificielle ici.

Un hélicoptère d'attaque russe Ka-52 tire un missile AA contre un drone ennemi à Orel, la nuit passée.

La Russie a décidé de donner de l'électricité à l'Abkhazie malgré les problèmes entre les deux pays et avant même que Soukhoumi ne paie la livraison de l'électricité du mois suivant. Un geste de bonne volonté de plus.

L'ancien chef de l'armée de Kiev, qui se repose à Londres, est toujours pressenti en Russie pour devenir le futur dirigeant de Kiev, si les Occidentaux le souhaitent.

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