Andrey Filatov explique plus en détails les problèmes du commandant « White », du système bureaucratique « judiciaire » russe et de la participation de journalistes contrôlés par l'ennemi dans cette affaire.
Ayant voulu lutter lui-même contre le trafic de drogue des Tchétchènes dans son unité en première ligne, la drogue rendant fous les soldats qui deviennent inaptes aux combats, le commandant a fouillé dans les téléphones de ses personnels, a trouvé les contacts des fournisseurs et a tout envoyé au FSB.
Dans les arrières, les Tchétchènes ont cherché à mettre sous pression le commandant White et s'en sont notamment pris à sa femme. Des soldats de White et des Tchétchènes se sont bagarrés. Là s'arrête l'affaire.
Du point de vue bureaucratique, un trouble à l'ordre public a été créé du fait d'une initiative illégale consistant à faire justice soi-même. Le fautif est donc le commandant « White », qui est alors emprisonné et qui n'est pas libéré, même en étant renvoyé en première ligne, car toujours du point de vue bureaucratique, il pourrait ordonner de faire pression sur ses adversaires (les Tchétchènes dealers de drogue. De ce point de vue, c'est certain...).
Andrey et l'avocat (payé par RT si j'ai bien suivi) ont démontré avec des preuves concrètes que le commandant « White » travaillait à la mise au point de tactiques de combats innovantes qui permettaient d'épargner des pertes importantes et de conquérir rapidement du territoire. Ils ont tenté d'argumenter sur la situation qui étaient devenue prioritaire : la lutte contre la drogue en première ligne qui rendait les soldats inaptes était une urgence nécessaire pour le maintien des positions acquises et la sauvegarde des personnels. La bureaucratie a rejeté tous les arguments pour les raisons du paragraphe précédent, quelle que soit l'utilité de « White » au front et la pertinence de ses actions.
Andrey dénonce également des journalistes russes qui ont trahi en s'exilant chez les sponsors de Kiev et qui participent à répandre des rumeurs à l'égard de « White » et d'Andrey lui-même, en lien avec cette affaire. Dont des informations connues seulement par les bureaucrates « judiciaires » censés respecter le secret judiciaire.
Andrey estime que le système bureaucratique « judiciaire » russe contient une grande quantité de libéraux, pro-Kiev & Cie. Il conclut que la bureaucratie n'ayant pas été visée par la loi martiale, il y a de quoi ouvrir de nombreuses affaires de haute trahison à l'égard de ses membres.
https://t.me/filatovcorr/4258
https://t.me/filatovcorr/4259
https://t.me/filatovcorr/4262
https://t.me/filatovcorr/4263
Notre cher Andrey risque vraiment de finir par perdre au jeu de la roulette russe. J'ai déjà dit qu'il avait survécu aux terroristes en Syrie et aux bandéristes, mais l'ennemi intérieur est probablement le plus dangereux. S'il réussit aussi contre ce terrible ennemi, on saura qu'il a mérité sa date d'anniversaire, le 25 décembre (1981) (certes, dans le calendrier grégorien).
🙏
Ayant voulu lutter lui-même contre le trafic de drogue des Tchétchènes dans son unité en première ligne, la drogue rendant fous les soldats qui deviennent inaptes aux combats, le commandant a fouillé dans les téléphones de ses personnels, a trouvé les contacts des fournisseurs et a tout envoyé au FSB.
Dans les arrières, les Tchétchènes ont cherché à mettre sous pression le commandant White et s'en sont notamment pris à sa femme. Des soldats de White et des Tchétchènes se sont bagarrés. Là s'arrête l'affaire.
Du point de vue bureaucratique, un trouble à l'ordre public a été créé du fait d'une initiative illégale consistant à faire justice soi-même. Le fautif est donc le commandant « White », qui est alors emprisonné et qui n'est pas libéré, même en étant renvoyé en première ligne, car toujours du point de vue bureaucratique, il pourrait ordonner de faire pression sur ses adversaires (les Tchétchènes dealers de drogue. De ce point de vue, c'est certain...).
Andrey et l'avocat (payé par RT si j'ai bien suivi) ont démontré avec des preuves concrètes que le commandant « White » travaillait à la mise au point de tactiques de combats innovantes qui permettaient d'épargner des pertes importantes et de conquérir rapidement du territoire. Ils ont tenté d'argumenter sur la situation qui étaient devenue prioritaire : la lutte contre la drogue en première ligne qui rendait les soldats inaptes était une urgence nécessaire pour le maintien des positions acquises et la sauvegarde des personnels. La bureaucratie a rejeté tous les arguments pour les raisons du paragraphe précédent, quelle que soit l'utilité de « White » au front et la pertinence de ses actions.
Andrey dénonce également des journalistes russes qui ont trahi en s'exilant chez les sponsors de Kiev et qui participent à répandre des rumeurs à l'égard de « White » et d'Andrey lui-même, en lien avec cette affaire. Dont des informations connues seulement par les bureaucrates « judiciaires » censés respecter le secret judiciaire.
Andrey estime que le système bureaucratique « judiciaire » russe contient une grande quantité de libéraux, pro-Kiev & Cie. Il conclut que la bureaucratie n'ayant pas été visée par la loi martiale, il y a de quoi ouvrir de nombreuses affaires de haute trahison à l'égard de ses membres.
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Notre cher Andrey risque vraiment de finir par perdre au jeu de la roulette russe. J'ai déjà dit qu'il avait survécu aux terroristes en Syrie et aux bandéristes, mais l'ennemi intérieur est probablement le plus dangereux. S'il réussit aussi contre ce terrible ennemi, on saura qu'il a mérité sa date d'anniversaire, le 25 décembre (1981) (certes, dans le calendrier grégorien).
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