قناة السنّة في منطقة القبائل dan repost
Le fait d’amasser les gens autour d’eux et de se faire prévaloir par les gens déviés et discrédités, afin de désemparer leurs frères, les machayikhs salafis, tel qu’ils l’ont fait, à titre d’exemple, dans leur triste et scandaleux communiqué « brâ’èt adh-dhimma », où ils ont tenté de prouver la justesse de leur position par la position de la presse algérienne, car ils ont prétendu qu’elle partage le même avis qu’eux concernant le savantissime Mouhammed Ibn Hêdî qui a désigné nos machayikhs tels la « tête de la salafiyya » en Algérie. Cela en plus de leur mobilisation de la jeunesse en Algérie, en Arabie, en France, etc. Je cite comme exemple, le soutien apporté par A. ‘Awisset aux saafiqas de France dans un communiqué qu’ils ont diffusé. Ces manipulations de leur part, n’ont d’autre objectif que d’éteindre la lumière de la vérité prônée par nos vertueux machayikhs, et d’imposer leur position qui tient du faux et la répandre partout dans le monde et avec bien entendu le soutien des saafiqas de Médine.
Jouer sur les deux cordes, et adopter le double discours dans plusieurs affaires méthodologiques sensibles dans plusieurs régions du pays.
Venir en aide ou prédicateurs déviés pour l’entraide prédicative, prétendent-ils. Et ce en faisant recours à la Fetwa, aux réponses aux questions, à l’orientation, et à la tenue d’assises de réconciliation et d’entraide entre les salafis et les partisans de leurs passions, tout en mettant tout le monde dans le même sac : celui qui est malade (passionné) avec celui est sain, le dévié avec le droit, le douteux avec le clair, le déchu dans son état de justice avec le juste, le menteur avec le véridique… Or, Allâh -Très-Haut soit-Il- dit ((Ô vous qui avez cru ! Craignez Allâh et soyez avec les véridiques)), et le Prophète -qu’Allâh prie sur lui et le salue- dit : « L’homme est sur la religion de son ami, que l’un de vous regarde qui il prend pour ami ! » Et il dit aussi -sur lui la prière et le salut- : « Ne prends pour ami qu’un croyant, et que ne mange ta nourriture qu’une personne pieuse ! » Ces assises suspectes opposées à la charia, mais couverte du couvert de la réconciliation et de l’entraide dans le bien et la piété, prétendent-ils ! Au cours des années, ces assises ont eu lieu à Bejaia, à Tizi-Ouzou, dans l’est, dans l’ouest et dans le Sahara. Voire elles se tenaient dans tout endroit ou des conflits surviennent entre les salafis véridiques et clairs et les khalafiyyîns insidieux et suiveurs de leurs propres intérêts. Mais Allâh -Exalté soit-Il- est Celui qui demandera des comptes, et dont aucune chose ne Lui échappe. Et malheur à celui qui trompe les gens par confiance et simplicité d’esprit et « celui qui nous trompe parce qu’il nous cite Allâh, nous nous laissons faire », tel que cela a été rapporté dans la parole du vénérable compagnon ‘Abd Allâh Ibn ‘Oumar -qu’Allâh les agrée, lui et son père-.
Tout cela en plus de beaucoup d’autres choses, qui sont connues par ceux qui ont fréquenté ou cohabité « les auteurs de la revue », notamment celui qui a fréquenté pendant de longues années le personnage qu’on trouve aujourd’hui placé à leur tête et devenu leur ainé et maître savantissime, alors qu’avant, ils ne se gênaient point de le dénigrer, de ridiculiser ses conférences, ses cours et sa science et de donner de paraboles à son encontre ! Mais, de nos jours, sous l’effet de leur fitna, ils le placent au rang du gourou à imiter et « l’information n’est point pareille au fait d’avoir pris connaissance de visu ».
Et gloire et louange à Toi, ô Allâh, j’atteste qu’il n’y a point d’adoré digne d’adoration hormis Toi, je Te demande pardon, et je me repens à Toi.
Écrit par votre frère : Aboû Fahîma ‘Abd Ar-Rahmên Ayad El Bidjê’î
Au matin du lundi 9 radjab 1439
Corr. 26 mars 2018 G.
N.B. Quelques brèves informations non contenues dans la version arabe, ont été ajoutées lors de la traduction. http://kabyliesounna.com/?p=3483
Jouer sur les deux cordes, et adopter le double discours dans plusieurs affaires méthodologiques sensibles dans plusieurs régions du pays.
Venir en aide ou prédicateurs déviés pour l’entraide prédicative, prétendent-ils. Et ce en faisant recours à la Fetwa, aux réponses aux questions, à l’orientation, et à la tenue d’assises de réconciliation et d’entraide entre les salafis et les partisans de leurs passions, tout en mettant tout le monde dans le même sac : celui qui est malade (passionné) avec celui est sain, le dévié avec le droit, le douteux avec le clair, le déchu dans son état de justice avec le juste, le menteur avec le véridique… Or, Allâh -Très-Haut soit-Il- dit ((Ô vous qui avez cru ! Craignez Allâh et soyez avec les véridiques)), et le Prophète -qu’Allâh prie sur lui et le salue- dit : « L’homme est sur la religion de son ami, que l’un de vous regarde qui il prend pour ami ! » Et il dit aussi -sur lui la prière et le salut- : « Ne prends pour ami qu’un croyant, et que ne mange ta nourriture qu’une personne pieuse ! » Ces assises suspectes opposées à la charia, mais couverte du couvert de la réconciliation et de l’entraide dans le bien et la piété, prétendent-ils ! Au cours des années, ces assises ont eu lieu à Bejaia, à Tizi-Ouzou, dans l’est, dans l’ouest et dans le Sahara. Voire elles se tenaient dans tout endroit ou des conflits surviennent entre les salafis véridiques et clairs et les khalafiyyîns insidieux et suiveurs de leurs propres intérêts. Mais Allâh -Exalté soit-Il- est Celui qui demandera des comptes, et dont aucune chose ne Lui échappe. Et malheur à celui qui trompe les gens par confiance et simplicité d’esprit et « celui qui nous trompe parce qu’il nous cite Allâh, nous nous laissons faire », tel que cela a été rapporté dans la parole du vénérable compagnon ‘Abd Allâh Ibn ‘Oumar -qu’Allâh les agrée, lui et son père-.
Tout cela en plus de beaucoup d’autres choses, qui sont connues par ceux qui ont fréquenté ou cohabité « les auteurs de la revue », notamment celui qui a fréquenté pendant de longues années le personnage qu’on trouve aujourd’hui placé à leur tête et devenu leur ainé et maître savantissime, alors qu’avant, ils ne se gênaient point de le dénigrer, de ridiculiser ses conférences, ses cours et sa science et de donner de paraboles à son encontre ! Mais, de nos jours, sous l’effet de leur fitna, ils le placent au rang du gourou à imiter et « l’information n’est point pareille au fait d’avoir pris connaissance de visu ».
Et gloire et louange à Toi, ô Allâh, j’atteste qu’il n’y a point d’adoré digne d’adoration hormis Toi, je Te demande pardon, et je me repens à Toi.
Écrit par votre frère : Aboû Fahîma ‘Abd Ar-Rahmên Ayad El Bidjê’î
Au matin du lundi 9 radjab 1439
Corr. 26 mars 2018 G.
N.B. Quelques brèves informations non contenues dans la version arabe, ont été ajoutées lors de la traduction. http://kabyliesounna.com/?p=3483